Thème :
Littérature Erotique
La quatrième de couverture
Où l’on voit Karine en urgentiste du sexe et de l’amour intervenir pour Agnès, mais oui, la véritable Agnès découverte dans le premier épisode de votre saga. Elle draguait le chéri de Karine et faisait l’amour avec les deux !
Karine confie cette urgence à son mari, charge à lui de redonner moral, amour et gros câlins à leur chère et tendre Agnès. Il l’emmène chasser ses idées noires dans un club libertin où ils rencontrent Fleur et Julien, un couple coquin et joueur.
Neuvième et dernier épisode de la Saison Une !
À très bientôt pour la Saison Deux de votre saga !
Les autres épisodes de la Saison Une ? C’est par ici !
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AVERTISSEMENT : des scènes ou des propos peuvent heurter la sensibilité des lecteurs
La première page
On l’appelle "Agnès La Tendresse" pas seulement pour la rime car c’est une jeune femme pleine d’amour et de gentillesse. Elle est venue passer quelques jours ici, chez nous.
Nous nous sommes rencontrés pour la première fois lors d’un été chaud, dans un endroit bucolique et charmant, ses parents nous avaient invités à leur maison de campagne, Karine et moi. Une garden-party où ma chérie avait encore séduit beaucoup d’hommes et de femmes, tous éblouis par mon épouse rayonnante d’intelligence et de beauté.
Je me souviens surtout de cette première rencontre avec Agnès, très jeune, très belle et très libre, testant son potentiel de séduction à tout va et faisant tomber les cœurs comme des mouches ! Pour jouir des plaisirs du sexe, elle avait jeté son dévolu sur un "vieux", en l’occurrence ma modeste personne.
J’étais surpris mais pourquoi le cacher, tellement fier et heureux ! Je n’ai pas boudé mon plaisir comme je l’ai raconté dans le premier livret de cette saga. Bien entendu, avec notre sulfureuse réputation de libertins notre rencontre n’était pas innocente, elle naquit d’un complot coquin entre Karine et Agnès.
Ce complot féminin m’avait donné l’immense joie et le plaisir de faire l’amour avec cette jeune femme, dix-neuf ans à l’époque. Impossible d’oublier Agnès, si jolie et presque timide, avec tant d’amour à donner et tellement demandeuse d’en recevoir ; Agnès si mignonne, définie autant par ses élans d’amour fou que par la beauté fragile de sa ravissante personne.
Elle me faisait penser à ces gravures de jeunes anglaises du temps passé dont les cheveux très blonds finissent en duvet sur leurs nuques. C’est d’ailleurs à cet endroit précis où ce duvet est si fin et si doux que j’aime l’effleurer et le couvrir de petits bisous.
Nous avions fait l’amour tendrement à l’ombre de vieux platanes, au bord d’un morceau de route abandonné, la société d’aujourd’hui préférant les lignes droites pour ses automobiles et réservant les virages pour ses mœurs et ses amours.
Repartie vers la Corse, sa Terre d’adoption, nous nous étions quelques temps perdus de vue. J’ai surpris involontairement de longues conversations téléphoniques entre Karine et Agnès au cours des mois et des années suivantes. Et puis nous nous sommes revus quelques fois entre deux avions et deux hôtels pour faire l’amour tous les trois.
Ce fut le début d’une relation rare de sensualité avec des milliers de caressantes douceurs, des baisers donnés à deux bouches à la fois partout sur son joli corps ! Elle demandait aussi des caresses et des pratiques fortes, étant très avide de jeux et de jouets sexuels et de vigoureuses pénétrations pour lui déclencher des orgasmes explosifs.
Agnès est une brindille dont le corps svelte et les attaches fines trompent son monde : en fait, c’est une costaude pouvant devenir suivant ses envies un beau jouet sexuel entre les mains de ses amants et amantes puis une jolie femme pleine de tendresse ! J’ai aussi le souvenir d’une rencontre inopinée lors d’un déplacement loin de la maison.
C’est de ce moment dont je veux parler aujourd’hui, de ce qui s’est passé durant cette vingtaine d’heures que je veux décrire ici tant cela définit bien la charmante Agnès.