Accueil > Littérature Erotique > Karine - livre 1
Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre. Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.). Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.
La saga des "Livres de Karine" commence ici… Karine est une femme libérée et libertine, gourmande et impudique presque nymphomane. Dans ce premier livret on voit qu’une partie de campagne devient un lieu de rencontres coquines, d’abord avec Agnès, très portée sur "la chose" puis avec François qui apprécie beaucoup que Karine ne porte pas de petite culotte, c’est tellement pratique pour voyager léger. Ils font des pauses, mais pas si reposantes que ça !
J’ai changé quelques dates, quelques lieux, quelques noms, la chronologie et quelques situations. Voilà pour la forme. Le fond, lui, reste intact. Quand je rencontre Karine, elle a trente-quatre ans et moi quarante-huit… Elle a déjà ce corps somptueux que je caresse toujours aujourd’hui, avec encore plus de volupté…
Je la croise un jour dans la société où elle travaille, une importante agence immobilière. Je suis moi-même créateur et patron d’une entreprise de promotion immobilière et foncière et j’ai l’habitude de travailler avec quelques opérateurs sérieux comme celui-ci.
Je monte l’escalier en courant et à l’arrivée mon souffle est coupé par la vision d’une jeune femme franchissant en bout du couloir la porte d’un bureau ensoleillé. Violente, la lumière traverse sa robe légère révélant des formes irréprochables, appétissantes, des courbes qui coupent le souffle mais réveillent l’envie.
Je reste seul au milieu du couloir, avec le souvenir d’un joli dos, d’une chute de reins parfaite, de hanches épanouies et d’un superbe petit cul rond. Je viens d’admirer, à l’insu de sa propriétaire, un corps magnifique, sans une ligne droite, proposé à mon regard de voyeur !
Elle n’est pas innocente mais n’a pas conscience à cet instant d’exhiber « là où son dos perd si joliment son nom » ! Elle porte ce jour-là des sous-vêtements quasi invisibles ; j’apprendrai plus tard que souvent elle n’en porte pas du tout et j’aime ça.
En avance sur mon rendez-vous, je tape à la porte et rentre dans le secrétariat où je suis accueilli par une dame aimable et efficace ; elle intercepte mon regard traînant sous le bureau de Karine et la flamme de mes yeux ne lui échappe pas, un sourire complice muet s’affiche son visage. Mon nom étalé sur son agenda sert de sésame, elle me prie d’attendre un instant.
Je salue les deux secrétaires. Je tends la main à Karine qui me gratifie d’un sourire. Je viens de la voir de derrière, arrosée de soleil, ses formes largement offertes à mon regard concupiscent. Je vous prie de croire que le devant vaut l’arrière.
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18 avril, par Emmanuel LEPIN
Un récit brûlant de sincérité, à la fois cru, complice et éminemment libertin. Pour lecteurs avertis, amateurs de fantasmes vécus et d’érotisme sans tabous. Merci pour ce partage !
^ 18 avril, par JL de Juin
Bonjour et merci pour votre enthousiasme ! Très heureux si vous avez eu plaisir à me lire et très content d’avoir une première critique. Je profite de l’occasion pour appeler tous ceux qui téléchargent à critiquer : Soit c’est positif et ça conforte à continuer dans cette direction, consacrer du temps à l’écriture, à raconter d’autres histoires, soit c’est négatif et ça permet de se corriger, de chercher les erreurs et apporter des modifications. Merci encore, je viens de regarder votre page auteur et ne manquerait pas de lire bientôt les aventures de Claire, Emmanuel et les autres… Bien cordialement, JL
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