Thème :
Littérature Erotique
La quatrième de couverture
Karine entraine mari, amant et maitresse dans le tourbillon de sa sexualité débridée, tous ensemble dans la luxure, dans une « Fête blanche » comme à Saint-Tropez !
En confidence sur son passé, Karine raconte comment elle a été surprise sans culotte et prise lors d’une chaude rencontre professionnelle. (cinquième épisode de la saga !)
Les autres épisodes de la Saison Une ? C’est par ici !
Karine 1 / Karine 2 / Karine 3 / Karine 4
Karine 6 / Karine 7 / Karine 8
AVERTISSEMENT : des scènes ou des propos peuvent heurter la sensibilité des lecteurs
La première page
Comme nous n’arrêtons pas de jouer à ce jeu merveilleux et excitant, c’est-à-dire que ma chérie rencontre amants et amantes, je n’avais jamais pensé au cas du dragueur spontané, juste attiré par Karine en dehors de toute provocation ou complicité candauliste.
Ma femme séduit et aime séduire. La relation sexuelle est bien entendu le but ultime mais nous ne nous privons pas du plaisir du jeu de séduction. On ne sait pas si la personne dont on a envie dira oui à nos avances très directes et si elle a envie d’être notre partenaire pour jouer au sexe.
Jusque-là, nous n’avons pas eu de partenaires sexuels cherchant à me cocufier. Nous ne faisons qu’UN dans nos relations, que l’Autre soit présent ou non. Karine ne manque pas de propositions coquines voire amoureuses, mais ma femme est heureuse dans son couple et son quotidien. Elle décline ou ignore systématiquement ces invites plus ou moins habiles.
Le "cuckold" (cocufiage) ne nous correspond pas, nous n’aimons pas cette forme de candaulisme. Au contraire, la franchise, la loyauté et notre complicité sont indispensables à notre plaisir. Les occasions de sortie en cette fin de saison estivale ne manquent pas.
Ça nous a emmenés cette fois dans une partie de sexe torride et décomplexée avec des gens rencontrés lors d’une garden-party. Je ne suis pas spécialement porté sur les jeunes femmes mais là, j’ai rencontré un cas, un beau cas.
Je me suis trouvé face à une jeune demoiselle particulièrement coquine et perverse et partageant facilement nos fantasmes. Quant à Karine, elle fut dès le départ draguée sans complexe par un gentleman qui, dès lors qu’elle eut mon consentement et même mon encouragement, s’occupa avec talent de son joli petit cul !
Mais si je veux vous raconter tout ça, il vaut mieux que je raconte dans l’ordre. Nous sommes donc conviés il y a peu de temps à une réception dans le jardin d’une belle demeure en grande banlieue. En cette fin d’été alors que la température est chaude, nos hôtes ont sacrifié à la mode lancée par Eddie Barclay à Saint-Tropez.
Le code vestimentaire ou "dress-code" exige d’être habillé en blanc, symbole d’une virginité immaculée, pour tous les invités. Vive la "Fête Blanche" ! Une fête où on arrive tout de blanc vêtu certes, mais ni vierges ni immaculés !
Karine a opté pour une robe blanche, légère et diaphane qui selon l’angle de la lumière devient quasi transparente, des sandales nu-pieds, pas de soutien-gorge pour laisser libre son 90C dont on distingue clairement les aréoles.
