Thème :
Littérature Erotique
La quatrième de couverture
Entièrement nue dans sa salle de bains, Karine reçoit son plombier. Avec le chéri de notre gourmande, ils sont excités par le naturel exhibitionniste de cette chipie. Ils la prennent tous les deux et la font beaucoup jouir !
Pour de bonnes vacances coquines, pas de petite culotte pour Karine ! Tout le monde à poil sur la plage nudiste ! Elle et son époux y font l’amour avec sa jolie voisine Mimi. (deuxième épisode de la saga !)
Les autres épisodes de la Saison Une ? C’est par là !
Karine 1 / Karine 3 / Karine 4 / Karine 5
Karine 6 / Karine 7 / Karine 8
AVERTISSEMENT : des scènes ou des propos peuvent heurter la sensibilité des lecteurs
La première page
De ma salle de bains, petite et bien rangée, j’entends Karine s’activer dans la sienne, grande et en fouillis. Je frappe à sa porte.
– Mouiii ? C’est toi mon chéri ?
Elle est désarmante, comme si ça pouvait être quelqu’un d’autre ! Je rentre. Madame est assise dans un fauteuil Emmanuelle en osier, sur une grande serviette éponge étendue pour protéger le siège, les jambes posées de chaque côté sur les bras.
Elle se rase le minou avec une application qui force le respect. Le p’tit bout de langue au coin de la bouche, les plis du front rendent compte de sa concentration, de l’intensité et de l’importance de l’opération.
Elle reste les cuisses grandes ouvertes sur les lèvres pulpeuses de sa vulve, tout un côté encore barbouillé de mousse blanche, cette vue me laisse sans voix.
– Tu vois, je me fais douce et belle.
À chaque fois que je vois Karine nue dans le quotidien, j’ai un trait de feu, une brûlure profonde au creux des reins.
– Je vois surtout ton cul et ta chatte, mon amour, et ça me fait bander.
Elle me jette un clin d’œil, un regard coquin.
– Mais on a encore fait l’amour cette nuit ! Espèce d’obsédé ! Laisse-moi, je dois finir ce délicat travail. Oh, à propos, j’ai appelé le plombier, je ne sais pas pourquoi mais à part la douche les siphons sont encore bouchés.
– Ok ma chérie, je suis à côté et je t’appelle dès qu’il arrive.
Elle me tend ses lèvres.
– Bizzzoooouuus !?
Je m’approche, embrasse tendrement ma femme. Elle a attaché ses cheveux avec une pince en écaille, elle est belle, espiègle, joueuse, sérieuse, rieuse, un peu femme-enfant.
J’aime sa personnalité, son comportement, son regard clair, sa façon de tenir notre maison et de s’occuper de l’intendance et de tous ses habitants. J’aime sa bouche faite autant pour les bisous tendres que pour sucer une queue, ses jambes musclées, sa chute de reins à la cambrure érotique et aux tendres fossettes, son beau cul rond. Je l’aime, j’aime tout d’elle !
17 mai, par Emmanuel LEPIN
Un très beau texte, raconté avec justesse et subtilité. On a l’impression d’être un spectateur discret, presque voyeur, immergé dans l’intimité des personnages. Bravo pour cette belle maîtrise du récit.
Emmanuel
^ 17 mai, par JL de Juin
Bonjour Emmanuel. Merci pour votre commentaire si positif. J’avoue être un peu dépassé par l’apparent succès de mes petits livrets. Félicitations pour le succès mérité de votre Ludivine ! Cordialement, JL