Thème :
Rentrée littéraire 2025
Littérature Erotique
La quatrième de couverture
Karine est au menu ! Elle est le dessert du diner avec Noa, relation d’affaires de son mari. Tous les deux vont croquer notre délicieuse chipie.
Puis Karine et son homme font "L’Amour à la Plage" comme dans la chanson. Là c’est du sexe au pluriel avec Arthur et Bob, c’est comme ça avec cette naturiste gourmande. (sixième épisode de la saga !)
Les autres épisodes de la Saison Une ? C’est par là !
Karine 1 / Karine 2 / Karine 3 / Karine 4
Karine 5 / Karine 7 / Karine 8 / Karine 9
AVERTISSEMENT : des scènes ou des propos peuvent heurter la sensibilité des lecteurs
La première page
Bonjour, c’est Karine. Je vous écris vite parce que je me prépare pour un rendez-vous coquin. Mon homme est d’autant plus au courant qu’il en est l’organisateur. Noa, une de ses relations de travail est de passage à la maison, nous l’avons invité ce soir pour un apéritif dinatoire.
Aux lourds sous-entendus de mon chéri, je pense que c’est mon petit cul et moi qui risquons d’être au menu ! À ses regards, je sais que je plais à ce mec, par contre je ne sais pas trop ce que mon mari lui a raconté sur moi, sur nous et notre vie sexuelle plutôt "border line".
Cette fois, l’excitation vient de ce que je ne sais rien ou pas grand-chose. Je sens que je vais quand même passer à la casserole ! Devant mon air interrogatif, mon chéri a précisé.
– Je veux que tu t’habilles simplement mais sexy et même très sexuelle ce soir. Tu ne mets pas de sous-vêtements, ni petite culotte ni soutien-gorge. Une robe simple fera l’affaire. J’espère que tu l’enlèveras rapidement. Tiens, par exemple, prends cette robe noire très décolletée et fendue sur le côté, tu vois ?
Il marque un temps avant de poursuivre.
– Je ne te demande pas si Noa te plait, ta façon de le regarder m’a renseigné. Tu mets des escarpins si tu veux mais pas de bas, tes cheveux fous en bataille comme tu sais si bien les tenir avec une jolie pince en écaille.
Je dois faire les yeux ronds en répondant.
– Oui mais la robe dont tu parles n’est pas fendue sur le côté mais sur le trois-quarts avant !
Il me fait un sourire satisfait et il insiste.
– C’est bien ça, je veux sur tu portes celle-là.
J’essaye de le mettre en garde.
– Tu sais qu’en me penchant ou juste en bougeant, sans soutif il voit mes seins jusqu’aux tétons et quand je m’assois, jusqu’en haut de mes cuisses voire... un peu plus haut ?
