Burlesques, provoquants, sans souci d’aucune cohérence, rires et pleurs, tendresse et mélancolie, simples jeux de miroir où se perd le sens, l’amour, la mort, l’ironie, transports et colères, jetés en vrac sur des feuillets épars ; oubliés là, rêvant d’éternité, voici retrouvés au fond d’un tiroir, évoquant des soupirs depuis longtemps éteints quelques vers où des mots fanés ont laissé leur poussière.