Sam geignait, la queue basse, dont le panache était devenu un ramasse-poussière pour le parquet de l’appartement. Le Berger Allemand décrivait des huit devant la porte de l’entrée. Michel feignit de ne pas l’entendre et prit la télécommande de la (…)
Nouvelle version 2011
Dans cette maison où Héloïse vit avec ses parents, quelques unes des pierres, dans les murs, deviennent incandescentes telles des braises ardentes ; le maléfice semble se poursuivre à l’extérieur, le long des trottoirs, sur d’autres murs, sur d’autres (…)
2011
Petit Robert trépignait d’exultation. Sous peu, les derniers rayons du soleil s’effaceraient derrière la ligne sombre de l’horizon, et la nuit étalerait son règne sur la nature et les hommes. Dans ce milieu paysan, on se couchait comme on se levait, au (…)
Ce matin-là, après un réveil tardif, je jetai un coup d’œil par la fenêtre de la cuisine, tout en préparant mon café. Le temps était maussade et de fines gouttelettes de pluie projetées par des rafales de vent s’accrochaient désespérément aux carreaux.
Un homme était assis au comptoir d’un bar du centre ville. Du haut de sa chaise, il fixait son verre vide d’un regard absent et faisait tourner son index à l’intérieur de celui-ci. Pendant un bref moment il s’était assoupi. Son verre se brisa par terre et (…)
20 mai 2008, par David
L’histoire, l’intrigue, est bonne mais il y a toujours certaines phrases que je trouve trop "longues" et ça me fait perdre le fil sur certains passages.