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Le feu dans la cheminée s’était endormi et la chaleur avait laissé sa place à une odeur lourde, indéfinissable et d’une puanteur épouvantable. Les murs dégoulinaient d’aliments séchés. Des morceaux de verre étaient disséminés un peu partout. La grande table retournée ressemblait à un radeau perdu en pleine mer.
Un corps bougea. Marcel, les muscles ankylosés par deux heures de sommeil couché à même le sol, se déplaça lentement. Sa bouche était pâteuse par l’absorption de divers alcools. Ses narines dilatées par des « sniff » répétés, l’amenèrent tout d’abord à repenser son idée de mouvement.
– Remue-toi, mon gros. Arrache ce corps inerte.
Plantés sur son crâne, ses derniers cheveux blancs étaient durs comme une brosse à chiendent. Ils lui cuisaient la peau. C’étaient des aiguilles chauffées au rouge.
Mais tout cela n’était qu’illusion.
Son corps par des moyens très personnels, lui rendait la monnaie de sa pièce.
La plus grande souffrance se situait au niveau de son sexe flasque, fripé et déformé comme un fil de téléphone. Cela lui chauffait le gland et ses testicules pendaient avec deux boules réduites au minimum.
Violent avait été le dépucelage de Virginie Henry. La timide avait donné son corps pour de l’argent.
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Quel est ce décor blanc et froid ? Qui est cet homme un couteau à la main ? Ou va t-on ? Que fait-on ? En quelques lignes entrées dans l’univers macabre de Jean-Michel Pailherey . Murs blancs tachés de billes rouges Sol ruisselant de liquide Lumière blanche et (...)
2011
Plus que deux heures à attendre, un frisson visita les échines chauffées au rouge des quatre mille spectateurs du stade de France. Les joueurs venaient d’entrer pour saluer la foule avant de retourner aux vestiaires. Le match d’ouverture de la coupe du monde (...)
2007
Assise à son bureau, elle sentit que son cancer progressait. La maladie continuait son ravage. Malgré sa chimiothérapie, ses attentions alimentaires, ses efforts physiques et sa volonté décuplée, elle sentait l’irréversible (...)
2006
Lorsque la Prêtresse arrive, Yves est sur le banc Elle s’assoit près de lui… -Yves je te vois songeur…
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Bonjour Prêtresse ! Oui, je repense à hier ! Tu as dit, il nous semble, ne plus être dans la même France ! En parlant de l’endroit où a terminé ton parcours migratoire sous les mitraillages Allemands… et que tu as pleuré sur ta première (...)
27 février 2006, par stephenking999
Ca y est. Enfin la suite. J’espère qu’il ne faudra pas encore attendre un an pour le tome 3. Par contre j’ai trouvé cela un peu plus violent, le sexe est cru et cela laisse entrevoir de la violence pour l’avenir.
^ 15 juin 2006, par simon
géniale, cette saga est dantesque