Il y a de cela presque vingt ans, j’ai commis un double meurtre. Je n’ai jamais été suspecté, jamais condamné. La police de l’époque en avait conclu à une fugue ou un crime de rôdeur. En fait, ils piétinaient totalement. Ces deux jeunes gens, je les ai (…)
2006
Lorsque François vit cette affiche, son sang ne fit qu’un tour. Il réalisa qu’au lieu de se la couler douce à Kerlerquy, il allait assister au meilleur festival rock de Bretagne. C’était un grand fan de rock and roll depuis toujours, alors les autres (…)
2006
Je suis ce que l’on pourrait appeler un apprenti écrivain , produisant quelques nouvelles lorsque j’ai du temps libre. Mais aujourd’hui, ce n’est pas vraiment une nouvelle de mon cru que je viens vous soumettre
2006
Je me dirige lentement vers le phare. Il y a quelques années, il fonctionnait encore afin d’avertir les bateaux marchands de notre présence. Mais la fin de la première guerre mondiale a mis un terme au commerce, du moins dans cette partie de l’île. (…)
Ce roman est le parcours d’un jeune financier Français à New York, qui va tomber sous le charme d’une jeune femme, prisonnière d’un patron mafieux, il va essayer de l’aider à sortir des griffes de ce compagnon macho, jaloux, qu’elle n’aime pas
Les nouvelles noires du recueil « Le Tueur des Equinoxes » permettent de saisir, le chiasme aidant, les tensions opposées de la vie et de la mort, du bonheur et du malheur, de la fortune et de la précarité. Tout concourt à mettre en scène la faillite du (…)
12 août 2013, par melimelo
j’ai adorré le style, le sujet, la forme...
Dommage de vous etes arreté à la deuxième mission nous privant de la description "sadique" de la punition sanction en rapport avec le crime de lèse majesté de n’etre pas juste envers nos semblables !
j’ai adoré la description quasi chirurgicale des deux premiers contrats, et reste sur ma faim concernant les autres contrats...
j’avais imaginé une autre fin : danny aurait surpris votre conversation revelation avec anais et vous aurait tué tous les deux pour prendre votre place ! bien évidemment il aurait suplanté son père dans le sadisme à rétablir l’ordre et la justice...
merci encore pour cette lecture délirante !
je vais découvrir vos autres eboocks
26 décembre 2010, par Monichon Cédric
Bonjour Denis "G." Cuart,
Quel âge avez-vous ?
Je trouve que vous avez du style dans l’écriture, j’ai pris du bon temps à lire ces lignes.
Votre écriture est très stylisé, compréhensif, excellent. Digne d’un auteur professionnel.
Je vous en félicite beaucoup.
J’ai hâte de lire d’autres ouvrages et j’espère que vous allez m’époustaflé davantage.
Et votre manuscrit décrit parfaitement la réalité.
BRAVO !!!!
En attendant votre réponse, passez de bonnes fêtes de fin d’années et continuez l’écriture.
Cordialement.
P.S.
J’ai egalement écrit deux romans policiers. Si vous voulez découvrir ce que cache mes livres, dîtes-le moi. Un peu de pub ne fait pas mal.
20 août 2007, par koryn
c’est assez instructif en effet de voir que les Hommes ont toujours une vision très floue de la notion de "justice". Voici un héros ayant soi disant un sens très aigu de la justice mais qui n’hésite pas à tuer sa femme dont le seul crime aura été d’avoir trop aimé son mari. C’est aussi un lâche notre"justicier" parcequ’il ne s’est pas auto infligé la sanction qu’il méritait après avoir partagé le "secret" avec sa femme.
Avis à tous ceux qui se prennent pour des super hommes et qui osent juger les autres !!
^ 18 décembre 2008
Vraiment n’importe quoi. Sans évoquer la mythomanie pathologique, difficile de résumer mieux.
Une logorrhée stupide digne d’un adolescent (pas vraiment en avance...). Même si c’était un exercice de style, rien n’est moins crédible.
Et je n’ai lus QUE les commentaires (tous de l’auteur c’est dire !).
Difficile d’en écrire plus (et pourtant les idiots - qui s’ignorent - ca m’inspire) c’en est presque épuisant, l’énergie pour le faire n’est pas mérité au regard de la débilité (au sens étymologique le plus légitime) de ce que vous "écrivez" "Môsieur l’auteur".
^ 18 décembre 2008, par Denis "G." Cuart
Votre anonymat m’empêche, malheureusement, de commencer cette réponse par un traditionnel "cher Monsieur X", ou Madame...
Cependant, je me dois d’avouer que vous avez partiellement raison. En effet, ce "travail", ou ce torchon, comme vous voudrez bien le décrire à mon avis, est le fruit d’un adolescent peu lucide, persuadé que le Monde reconnaîtra un jour son talent. Comme le disais je-ne-sais-plus-qui, "on n’est pas sérieux quand on a 17 ans". Bon, d’accord, moi, j’avais 16 ans à l’époque, mais ça revient au même. On a la tête plus remplie d’hormones que de cervelle, on a des rêves de gloire idiots qui sont bien heureusement vite oubliés.
Donc, oui, un point pour vous et votre appréciation de l’adolescent peu en avance. Heureusement pour moi, je me suis amélioré, je vous prie de me croire. Mon confiance en mon talent est devenue minime, voire inexistante, ce que des commentaires comme le vôtre me rappellent à chaque instant.
Il existe une bonne raison pour laquelle vous n’avez pas pu faire parler votre verve aussi bien que vous ne l’auriez souhaité. Selon vos propres mots, les idiots qui s’ignorent vous inspirent. Mais voilà, je suis un idiot, et je suis très loin de l’ignorer. C’est mon credo quotidien, ma stupide petite fierté du post-adolescent de 19 ans aujourd’hui.
Non, ce n’était pas un exercice de style. Les commentaires que j’ai laissé sur ma propre nouvelle n’étaient rien d’autre que de la frustration, venant du fait que personne ne me complimentait sur le travail (car oui, c’est un travail, et non des moindres) que j’avais âprement fourni pendant un mois entier. Avec le recul, je me dis que c’était légitime. Mais vous savez, on n’est pas sérieux quand on a 17 ans.
Concernant la débilité, au sens où vous l’entendez, je ne suis pas d’accord avec vous. Qu’est-il de plus débile qu’un écrivaillon en mal de reconnaissance qui essaie d’user d’humour vaseux pour attirer les lecteurs vers sa nouvelle qu’un individu lambda qui commente les commentaires de l’auteur sans avoir pris la peine de lire son "oeuvre", ou son torchon, comme vous le voudrez, ça m’est égal. A ce propos, je me permets d’aiguiller votre oeil sur certains commentaires élogieux (à tort, je vous le concède) laissés par de parfaits inconnus. Vous verrez alors que je n’étais pas le seul à commenter ce que j’ai écrit.
Je ne vois vraiment pas où vous voulez en venir, en parlant de "mythomanie pathologique", peut-être pourriez-vous éclairer un peu la lanterne d’un auteur aussi idiot qu’à ses 16 ans, mais un peu plus lucide ? Je suis vraiment curieux de lire vos explications.
Enfin, je ne ferai que vous conseiller de lire "Profession : Négociateur", si vous voulez vraiment me descendre en flèche. Ce qui serait, je le répète, tout à fait justifié, du moment que vous ayiez pris la peine de jeter un oeil sur mon travail. Car pour l’instant, je ne vois rien de réellement critique et objectif sur ce dont est axée cette page Web, à savoir une histoire avec un début, un milieu et une fin. Vous savez ce que l’on dit, n’est-il pas ? La bave de la blanche colombe n’atteint le crapaud qui est planqué sous une pierre.
Alors, cher Monsieur ou Madame X, au plaisir de vous relire prochainement.
Cordialement,
Denis "G." Cuart, scribouillard tout ce qu’il y a de plus amateur.
4 décembre 2006, par Raphy
Merci pour ce bon polar. Ecrit tres simplement, je l’ai lu d’une seule traite.
Votre " hero" est tres sympathique malgre son travail de negociateur. J’espere qu’il n’y a pas beaucoup de gens comme lui qui voit la justice que par "oeil pour oeil" sinon ils ne valent pas mieux.
Merci encore et bravo.
Raphy (Martinique)
^ 4 décembre 2006, par Denis "G." Cuart
Merci beaucoup Raphy !! Je préviens tous ceux qui passeraient sur cette histoire que je prévois de la remodeler très prochainement
^ 21 juin 2007, par ellery
Bonjour ! Votre histoire me sauve la vie... je suis étudiante et je travaille sur un thème sur les prises d’otage pour un concours d’entrée en école de journalisme. Le métier de négociateur est tellement secret que j’ai bien du mal à trouver des infos ! serait-il possible d’en discuter avec vous ?
^ 21 juin 2007
Malheureusement, le métier de négociateur que je décris est totalement inventé. Je ne pourrais donc pas vous aider sur les prises d’otages. Désolé
30 décembre 2006, par Poupig
C’est une bonne histoire.
Tu as un style qui se reconnaît facilement.
22 juin 2006, par Denis "G." Cuart
Bon alors, Denis "G." Cuart", qui êtes vous ??
^ 24 juin 2006, par Denis "G." Cuart
Hé bien, c’est tout simple, je ’appelle Denis Cuart, je viens de Quéven dans le Morbihan. Le "G." signifie Gatolopez, le nom sous lequel je suis connu sur le net...
Je suis fan de Stephen King, et d’AC/DC, ainsi que de Ska-P... J’ai découvert l’auteur magnifique que l’on connait tous par ma prof de Français de 3è (Mme L... merci) puis par ma marraine, (merci encore)... J’ai quasiment tous ces livres, et ce fut très dur pour mon porte-monnaie, et ça l’est toujours...
^ 24 juin 2006, par Interviewer
Mais depuis quand avez-vous commencé à écrire ?? Voici qui pourrait intéresser nos lecteurs. Avez-vous écrit d’autres histoires ?
^ 24 juin 2006, par Denis "G." Cuart
Hé bien, j’ai commencé à écrire il y a un an environ... Après plusieurs tentatives complètement ratées, j’ai réussi à mettre en forme cette nouvelle, Profession : Négociateur. J’ai depuis écrit deux trois autres histoires, qui seront bientot sur ce même site... Le 9 juillet vous pourrez voir Cours Particulier dans Histoires courtes fantastiques... Et peut-être, avec l’accord du webmaster, y aura-t-il d’autres nouvelles, intitulées Dépression et The Bogeymen... Dépression qui m’a d’ailleurs fâchée avec deux amies en même tremps, mais la n’est pas le sujet...
Je dois dire que tant que le webmaster voudra de moi, je publierai mes histoires sur ce site...
25 mai 2006
J’attends avec impatience vos réactions !!!
^ 22 juin 2006, par Denis "G." Cuart
Bon bzen si personne n’a de réactions, je me fais une interview tout seul