Il y a de cela presque vingt ans, j’ai commis un double meurtre. Je n’ai jamais été suspecté, jamais condamné. La police de l’époque en avait conclu à une fugue ou un crime de rôdeur. En fait, ils piétinaient totalement. Ces deux jeunes gens, je les ai (…)
2006
Lorsque François vit cette affiche, son sang ne fit qu’un tour. Il réalisa qu’au lieu de se la couler douce à Kerlerquy, il allait assister au meilleur festival rock de Bretagne. C’était un grand fan de rock and roll depuis toujours, alors les autres (…)
2006
Ça y est. Ce que je redoutais depuis longtemps est arrivé. Je suis en train de devenir l’un d’eux. Toute ma vie je me suis protégé d’eux, ne supportant aucun contact avec eux. Ils m’ont dit que j’étais paranoïaque, ils m’ont dit que je perdais totalement (…)
2006
Gédéon est un môme de onze ans, rouquin et chétif. Vivant seul avec sa mère, moqué par ses camarades de classe, renfermé, le garçon ira se réfugier dans un monde onirique assez singulier, un ancien quartier de la ville, disparu depuis, que ses habitants (…)
C’est un petit recueil énumérant certaines malédictions pesant sur une chanson, sur deux tableaux et sur des livres de magie et de sorcellerie qu’il vaut mieux s’abstenir de lire ou de posséder sous peine des pires désagréments.
Karis est un homme très amoureux mais immature. Babel l’aime bien et veut passer le reste de sa vie avec lui. Seulement, elle ignore que c’est quelqu’un de jaloux qui serait prêt à commettre l’irréparable si jamais il vient à soupçonner une quelconque (…)
21 août 2006, par Pierre Collignon ( alias dagda_01)
pas mal du tout, je ne m’attendais pas du tout à une fin aussi sanglante. Apres avoir raconté son histoire je pensais que Katerine arriverait à lui faire prendre cette drogue pour que les medecins lui donnent ca dose. Mais je ne suis pas l’auteur de cette nouvelle et l’hemoglobine ajoute une touche d’horreur a ta nouvelle pleine d’imagination.
^ 22 août 2006, par Denis "G." Cuart
Merci ;-) Perso, c’est une de mes nouvelles les plus abouties.... non, non, pas abruties, abouties... Pardon pour cette touche d’humour