Accueil > Biographie > Pitié pâle Septrière
Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre. Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.). Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.
"Pitié pâle Septrière", geste humoristique du parcours épique d’un patient en quête de diagnostic. De l’administration à l’équipe soignante, en passant par les investigations médicales, le quotidien hospitalier, le décryptage naïf des mystères d’examens pointus, et le plaisir des rencontres. "Mieux vaut de ris que de larmes escrire"... Tous ceux qui ont eu l’heur de s’offrir un fastueux séjour dans un environnement analogue s’y reconnaîtront peut-être. Puissent-ils sourire garder, investis de la miséricorde de la Grande Pâle Septrière.
Le difficile, pour l’être humain, c’est de ne pas connaître la date de péremption du produit qu’il représente. Certes, quelques froissements de l’emballage dermique peuvent faire figure de signes avant-coureurs, confortés par le traître envahissement des cheveux albinos, confirmés par la prédilection du sujet pour le maillot de bain une pièce. Cependant, c’est dans la mécanique que l’alerte se manifeste surtout. Le modèle de carrosserie a beau être un peu dépassé, une familiale bien entretenue peut encore faire bon usage. Dans les fêtes de famille, les dîners en ville, les escapades touristico-gastronomiques, le temps suspend presque son vol. Les courants ascendants d’un figaro artiste, l’étai d’un maquillage « fleurs et nature », l’emballage « doigt de fée » d’un couturier futé, aident à conserver la fraîcheur apparente du produit ; mais, malgré le trafic licite du compteur, les kilomètres- années parcourus restent une réalité incontournable.
Lorsqu’un étudiant romantique séjourne à Jouy-en-Josas, le village dans lequel Juliette (Drouet) et Victor (Hugo) ont décliné leur amour, tout peut advenir.
2022
Le choix d’un prénom est-il important pour le devenir d’un enfant ? Jeunes parents soyez vigilants quant à celui que vous choisirez pour votre descendant ! Lancelot vous met en garde.
Dans le bureau de Maître Coquencourt,notaire de province, un passager clandestin observe et attend:sur son lit de papiers noircis d’encre, un galet, enlevé à la grève et à son destin minéral, s’adresse au lecteur. Récepteur omniscient des pensées de son (…)
2015
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29 novembre 2020, par François Go
Excellentissime, l’impertinence savoureuse du professeur ! Ceux de la Faculté font... Pitié !
6 novembre 2017, par thierry
Un superbe ouvrage qui a l’approche de Noel peut être un beau cadeau pour les fêtes .
5 novembre 2017, par noir
Une entrée drôle dans le monde de l’hôpital !
17 octobre 2017, par Guy COURTOIS
A lire absolument pour mieux comprendre ce que ressentent les malades confrontés à l’administration, parfois,"inhospitalière". L’humour fait passer beaucoup de choses !
14 octobre 2017, par Floriane Guédon
C’ est avec un grand plaisir et un grand sourire Dany , que je viens de lire le récit de ton chemin initiatique Dans la peau d’ un malade .. J’ ai adoré . Je connais les deux côtés du " miroir" . Ton vécu de malade potentiel subissant à la fois les affres de l’ administration et celles de la machine à broyer les plus zens d’ entre nous est à la fois vraie , quand on est un patient et hilarante pour ceux qui sont de l’autre côté de la barrière . Tu les égratignes et tu as raison. Nous les soignants sommes malheureusement ainsi . Mais nous savons être humains également . Nous devons mettre un mur entre les patients et nous afin de nous préserver un peu . La précision dans ta façon de décrire personnel , les différents examens subis , ton ressenti et l’ ambiance générale de l’ hôpital ,est remarquable de justesse . Je me revois , surveillante surchargée , manquant parfois d’ empathie ... Ton jeune médecin traitant est inénarrable. Merci Dany. Gros , gros bisous J’ adore tes poèmes et j’ aime ta façon de nous communiquer ton hummeur du jour
15 octobre 2017, par Floriane Guédon
Merci Dany . Tu as mis dans le mille, avec un humour qui fait du bien . Il n’ y a rien à jeter . Je connais les deux côtés du " miroir " . A quand tes beaux poèmes ? Bisous
11 octobre 2017, par Arlette Lovera
Une thérapie par le rire si efficace que le livre devrait être remboursé par la sécurité sociale.
5 octobre 2017, par Marielou Calmus
J’aime beaucoup ; il y a du La Bruyère la-dedans !
4 octobre 2017, par belhomme
de quoi rentrer a lhopital en pyjama !
30 septembre 2017, par Danielle Bagnis-Dousset
Drôle, bien écrit, plein de réminiscences cocasses pour ceux qui ont fréquenté les lieux (ou informatif pour ceux qui les fréquenteront peut-être...), un humour à la fleur de sel de Guérande.
Toujours "sacralisé" comme écrivain d’une certaine mémoire Algérienne, Albert Camus de "Misère de la Kabylie" tenait à répondre par une contre-enquête, émanant d’un "Algérien" à un "Algérianiste". René Janon, c’est de lui qu’il s’agit, reste méconnu en (…)
Ils ont été mythifiés au point où on a oublié qu’ils étaient d’abord des criminels. Il y a eu mort d’hommes et en pleine colonisation. Ils n’avaient en tête que la vengeance. Ils nous ont aliénés davantage.
Natif d’Arras, ancien prêtre, proche de Robespierre et de Saint-Just, Joseph Le Bon instaura le régime de la Terreur dans les départements du Nord et du Pas-de-Calais, envoyant indistinctement à l’échafaud gens du peuple, nobles ou bourgeois.