Accueil > Autobiographie - Témoignage - Autofiction > Mes vingt-quatre mois de service militaire L’Algérie, les missiles antichars
Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre. Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.). Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.
Mes vingt-quatre mois de service militaire L’Algérie, les missiles antichars : Mon service militaire dura vingt-quatre mois de novembre 1960 à octobre 1962. Après six mois de formation d’officier, je participais pendant six mois à la guerre d’Algérie. Ensuite, heureusement, on avait besoin d’un ingénieur qualifié pour s’occuper des missiles anti-chars et cela justifia mon retour en France.
Comme suite à la loi du 31 mars 1928, l’instruction militaire était obligatoire (IMO) pour les élèves des grandes écoles, pour moi l’École Centrale de Paris, pendant les trois ans de la scolarité. En contrepartie, cela m’a permis, après mes études, d’effectuer un stage de deux semaines dans le camp de Mourmelon et, après un examen, d’être nommé sous-lieutenant le 1/10/1960 (JO du 5/1/1961). Le choix de l’arme se faisait en fonction du rang de sortie. J’avais opté en premier pour l’armée de l’air, en second pour les transmissions et en troisième pour le matériel. Mon rang de sortie me permit d’obtenir les transmissions. Le camp de Mourmelon fut créé à l’initiative de Napoléon III. Dans l’éventualité d’une guerre avec l’Allemagne, ce camp pouvait permettre de rassembler 100 000 hommes. Dénommé « Camp de Châlons1 » à ses débuts, il prit le nom actuel de « Camp de Mourmelon » en 1935.
Aux XIIe et XIIIe siècles, les cathares (du grec katharos, pur) revendiquent une religion plus proche de la chrétienté primitive respectant l’idéal de vie et de pauvreté du Christ. La religion cathare est rapidement considérée comme une hérésie par (…)
2024
Pourquoi ces lettres posthumes à mes grands-parents ? J’ai été privé de mon grand-père paternel Louis que je n’ai pas connu, privé de ma grand-mère paternelle Marie ainsi que de mon grand-père maternel Auguste que je n’ai connus que quand je n’étais qu’un (…)
J’ai eu envie d’écrire mon autobiographie. L’autobiographie peut prendre de multiples formes, mais elle conserve toujours les mêmes caractéristiques, une écriture révélant la personnalité de l’auteur et son expérience. Dans cette autobiographie, j’ai une (…)
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26 mars, par Ravallec René
Je suis reconnaissant, et je tiens à dire un grand MERCI à Monsieur Roger Gau qui m’a permis d’accéder à l’ensemble des riches ouvrages qu’il a produit, et qui m’ont permis de parfaire mes connaissances sur une période que j’ai également connue, lors de mon long séjour en Algérie. MERCI encore, Monsieur Gau, avec mes cordiales salutations. René Ravallec de VANNES
P.S.Je peux dire à Monsieur GAU, que je possède un certain nombre de Cartes Postales, et aussi de photos faites par moi-même lors de mes nombreux déplacements effectués dans ce pays. Au cas où j’aurais des documents qui pourraient compléter la collection que Monsieur Gau a également dû réaliser de son côté.
Une préface est généralement là pour capter l’attention du lecteur et le tenir en suspense, faire de la pub et pour que celui-ci ait envie d’en savoir plus pour acheter le livre. Pourtant ce n’est pas ce que je vais faire. Ce n’est pas un livre ordinaire.
J’ai choisi un sujet d’actualité. Suite à ce mouvement « Tcharmil », d’une jeunesse en quête d’identité et de compréhension, j’ai suivi à la trace la vie d’un adolescent, depuis ses débuts d’effervescence et de rébellion mal contrôlée jusqu’à ses premières (…)
J’aime les mots, les gens, les chats, la vie, le chocolat, faire un jogging, lire un roman, regarder un thriller....je vis l’instant présent, sens en éveil,et j’en ai parfaitement conscience, je ressens précisément mes peines, mes joies, mes colères, mes (…)