Une enquête hors norme, mais le crime appartiendrait il la normalité ? Des chemins de vies qui se croisent sans se rencontrer et pourtant !
2022
Debout, vigilants, parce que nous sommes dans l’insoutenable fébrilité de l’être à vouloir demeurer dans la crédulité... Vouloir croire à tout prix alors que le savoir est là, mais sait-on jamais ?
2018
William Tambour vit l’arrivée de l’année 2020 avec la Covid. Sa dernière année d’école élémentaire est « covidée » avec une maitresse anti Pokémon, anti récré, anti... L’année 2020 c’est l’année du dico et des mots barbares, c’est l’année du confinement et (…)
2021
Quand Alex, petit employé de banque et heureux gagnant du Loto,
Les faits remontaient à trois ans, mais il se rappela l’épisode avec une netteté incroyable. Ses yeux roulèrent dans leurs orbites et ses pupilles se fermèrent. Il était dans ce cimetière désert, debout. Il revivait les évènements. Comme les pièces d’un (…)
Comme tout à chacun, on vit le quotidien avec suffisamment de routine pour ne pas avoir à penser aux impondérables possibles ! Cet « inattendu », je l’ai vécu...
14 octobre 2022, par Marc Dupont
Votre livre réinvente le concept de l’espace -temps . En effet, comment expliquer m’être retrouvé au même endroit de 21 heures à 3 heures du matin après avoir autant voyagé dans l’espace sidéré des âmes perdues.
Merci, de tout cœur
Respectueusement,
Marc
^ 23 octobre 2022, par Évelyne Dhaze Thienet
Au royaume des âmes perdues, je suis heureuse que vous ayez perçu l’espérance de la joie de la rencontre aussi éphémère soit-elle. Votre commentaire, Monsieur, me permet encore de franchir la frontière de l’espace-temps pour savourer l’éternité de l’instant. Merci à vous pour ce partage. Évelyne Thinet
12 février 2019, par François
Merci Evelyne.
^ 12 février 2019, par Thinet
Un mot, un mot seulement : merci et vous me comblez de bonheur François. La rencontre avec le lecteur est certainement la plus merveilleuse des aventures pour un auteur. Évelyne
5 décembre 2018, par Benoit
Une enquête sans énigme. Une quête sans mobile. Une poursuite mais vers quoi ? Un suspense sans intrigue... et finalement un beau roman.
On suit Mathilde, qui croise une riche galerie de portraits attachants, avant d’arriver au dénouement de ce parcours à la fois personnel et collectif.
Au passage quelques citations, légères parfois, sérieuses souvent, que l’on retient sans peine :
- "Depuis sa retraite, dimanche est un autre jour qu’elle savoure lentement."
- "À l’enterrement de son épouse, il se penchait vers le cercueil dans la terre trouée, il se penchait comme pour l’embrasser... Depuis, il ne s’est jamais vraiment relevé. Il a gardé cette posture qui faisait de lui un être difforme."
- "Ce n’est pas ce qu’il y a de l’autre côté qui importe, c’est ce qu’on laisse derrière soi avant de passer ! C’est toujours le côté où l’on demeure qui importe n’est-ce pas Madame Roger ? Parce qu’il y a toujours un côté où nous serons présents dans l’absence... pour d’autres..."
Bonne lecture à tous
^ 30 janvier 2019, par Évelyne Thinet
Quelle émotion à la lecture de ce commentaire ! La pertinence des propos est éloquente. Ce livre était écrit depuis des années, il a été remanié, je l’ai fait publier en version papier à mes frais, je l’ai offert, je l’ai distribué partout. Un peu comme un jardinier semant de l’espérance… Et là, la joie, je récolte une joie inouïe. Merci, mille mercis Benoit. Zinon
26 novembre 2018, par Thinet
Le cri silencieux de Mathilde est loin d’être un roman douloureux ou triste. Souvent, parfois des histoires de vie s’entrechoquent, se télescopent, s’étirent mais fondent-elles vraiment ? Monsieur Berteau, torturé par de pauvres types, est un passeur merveilleux. Dire le délivre du souvenir de la sauvagerie. L’avocat véreux plaide pour l’assassin d’une fillette et Mathilde est là pour ne pas écouter, mais entendre. L’enfant Geoffroy traumatisé par un pervers se saisit de la main de Mathilde. Dylan, le très jeune violeur, rencontrera l’avocat véreux. La descente dans l’enfer de la vieillesse s’empare du parfum du lilas, les vieilles et les vieux aux cervelles délavées transmettent le souvenir de leurs sourires. Rien vraiment ne disparaît. Mourir sans passer par l’hôpital ou la maison de retraite : c’est un pari. Il n’y a pas d’abattoirs humains, il n’y a que des individus qui finissent avec un regard qui en dit long.