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—Bonjour Yves, tu me parais bien décidé, c’est bon signe !
— Bonjour Prêtresse, je suis surtout content d’hier, j’ai beaucoup pensé à ces "entités" que tu m’as expliquées, je réalise mieux l’existence de ce que je suis : tu dois aujourd’hui me préciser les différences sur l’imagination, ça me fait plaisir !
À moi aussi tu me fais plaisir, ton intéressement me prouve que tu t’engages sur le chemin de (l’élargissement de l’esprit) ce qui t’apportera une vision plus nette et réelle de ton destin ! Ton engagement dans la vie sociétaire avec un complément de savoir en plus sur la vérité, cela va te conforter. Intuitivement tu réaliseras que les épreuves physiques du quotidien sont des phases instructives nécessaires à ton monde parallèle. Sinon comment ton esprit aurait pris connaissance de ces épreuves, sans avoir la possession d’un corps physique, d’ailleurs pour t’en convaincre imagine-toi la douleur d’un coup de marteau sur les doigts... sans un corps physique, ce serait un coup de marteau sur le vide spirituel !... Cela justifie bien notre discussion d’hier sur "l’ensemble"... (Âme, esprit, corps physique), en plus comprendre que pour ressentir la douleur, l’esprit est au siège même du « faisceau nerveux », au même titre que le « cœur est le siège de l’âme, soit la « vie » ! Le cœur dit la « maison de Dieu » par nos lointains ancêtres !
Puisque un Sage aurait dit « Reposes toi sous un tilleul son haleine fortifie ta paix intérieure !
2015
Bonjour Yves, je te trouve sérieux et penseur... cela a l’air sérieux ! Bonjour Prêtresse, oui je pensais à ce que tu me dis, sur la vie, l’âme, l’esprit, le corps, la loi des contraires, le monde parallèle, etc.
2020
Papy, le président vient de dire que l’on est en guerre, c’est impressionnant, toi Papy tu connais bien ça... qu’en dis-tu ?
2020
Yves sur le banc bien détendu sous le paisible tilleul, il sourit à la venue De la Prêtresse, Bonjour Yves, tu me parais bien calme… j’en suis heureuse ! Qu’as-tu mijoté aujourd’hui ?...
– Papy, c’était comment quand tu étais tout petit et à l’école ? Hou Là, là... ! Petit, installe-toi sur la balancelle, moi, devant sur le banc de mon âge… ça va prendre un moment !
J’étais assise par terre dans la cour des promenades de Fleury Morangis. Je venais de prendre huit ans, accusée, pour Euthanasie sur une retraitée dans une maison de retraite.