Accueil > Fantastique > L’enfer sous la peau

Fantastique

L’enfer sous la peau

Greg Hocfell (Auteur)

Nombre de pages en A4 : 16

Livre publié le 11 mai 2008

Les statistiques du livre

1987 vues
1058 téléchargements au total.
2 téléchargements sur les 7 derniers jours
0 téléchargement aujourd'hui
614 PDF depuis le début
444 Epub depuis le début

Evaluer le livre :

2 votes

Note globale pondérée

3/5 sur 2 votants
Cette oeuvre est protégée par les droits d'auteur au sens de l'article L. 111-1 du code de la propriété intellectuelle (CPI).

Protection des oeuvres

Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre.
Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.).
Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.

Thème :
Fantastique

La quatrième de couverture

Il ferme les yeux sitôt que sa femme éteint la lumière mais la ruse ne prend pas, son cerveau ne tombe plus dans le piège délicieux du sommeil. Aussi, lorsque trois heures sonnent, la troisième de la nuit, il s’en va fumer une Winston dans la courette, il s’assoit sur le tronçon de chêne, regarde le lierre qui court sur le muret, écoute le vent qui susurre dans les feuilles cunéiformes, distingue le vrombissement incessant de la voie nationale qui dessert leur commune – Saint-Père-En-Cèpe, qu’un petit cours, la Gendrôme, traverse paisiblement.

La première page

en cours de rédaction
  

Biographie de Greg Hocfell

Il s’appelle Greg Hocfell, il est né en 1975, à Fontainebleau, en France, peu importe sa carte d’identité à vrai dire, seule compte l’histoire que vous allez découvrir une fois la page de garde tournée. L’ombres, Attention aux morts, Glyptic,... que lirez-vous ? Peut-être le premier chapitre, à...

Lire son interview

Du même auteur

Cet immeuble qui tuait

Cet immeuble qui tuait

Sam geignait, la queue basse, dont le panache était devenu un ramasse-poussière pour le parquet de l’appartement. Le Berger Allemand décrivait des huit devant la porte de l’entrée. Michel feignit de ne pas l’entendre et prit la télécommande de la (…)

Nouvelle version 2011

Tsar

Tsar

Un empire. Une femme. Un amant. Un mendiant. Un songe...

2017

La nue merveilleuse

La nue merveilleuse

Dans cette maison où Héloïse vit avec ses parents, quelques unes des pierres, dans les murs, deviennent incandescentes telles des braises ardentes ; le maléfice semble se poursuivre à l’extérieur, le long des trottoirs, sur d’autres murs, sur d’autres (…)

2011

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre Message

1 discussion

  • 20 mai 2008, par David

    L’histoire, l’intrigue, est bonne mais il y a toujours certaines phrases que je trouve trop "longues" et ça me fait perdre le fil sur certains passages.

Que lire après : L’enfer sous la peau

Saut du Doubs

Saut du Doubs

Après un détour en Franche –Comté, et sa rencontre avec Polska, p’tit Brochin, retrouve la cité gentille pour d’autres aventures cocasses... Rendant furieux son dentiste préféré, patientant rue de la corderie tout en écoutant ses voisins.

Des souris et des clones

Je rentrai à pas de loup dans l’obscurité de notre chambre. Toi, bien sûr tu étais là, mais immobile, figée. Ton beau visage glacé sur du papier du même nom, dans un cadre noir bordé d’or, sur la pauvre commode dont les tiroirs vomissaient slips et (…)

La solution finale

La solution finale

Les autres numéros s’inscrivirent un par un. Au départ, Taylor suivit machinalement l’évolution du tirage. Il se moucha bruyamment, rangea son mouchoir en boule dans sa poche et se rendit compte avec stupéfaction que son numéro d’identité était là. Au beau (…)