Par une douce soirée d’été, comme à l’accoutumée, Pierre aimait se promener en solitaire dans les allées du cimetière de la ville. C’est le seul endroit où il pouvait trouver la paix ; où il avait le privilège de savourer le silence sans que quiconque ne (…)
2010
Faites venir le directeur dans mon bureau. Immédiatement ! – Mais... Monsieur Kuhn... – Il n’y a pas de "Mais" qui tienne, je veux le voir tout de suite ! Nicole, la jeune stagiaire de direction obtempéra. Elle s’était bien dit en arrivant ici (…)
2010
Ce matin là, Jean-Philippe se réveilla doucement en écoutant sa radio déverser ses nouvelles macabres : – Une voiture de police, poursuivant une moto volée par deux hommes s’est écrasée contre un platane. Essayant d’intercepter des voleurs à la tire (…)
« Ce soir-là, je n’aurais jamais dû partir dans la forêt. Mais cette lumière m’éblouissait les yeux, cet appel remplissait mes oreilles et j’étais attiré dans cette sombre et sanglante forêt. Après tout ce qui était arrivé, je me demande encore, pourquoi (…)
Un homme était assis au comptoir d’un bar du centre ville. Du haut de sa chaise, il fixait son verre vide d’un regard absent et faisait tourner son index à l’intérieur de celui-ci. Pendant un bref moment il s’était assoupi. Son verre se brisa par terre et (…)
17 mars 2007, par Sharyann
C’est sûrement une question de style ou plus simplement de goût mais je trouve que les phrases sont parfois trop poussées et cassent le rythme de la nouvelle. Exepté ce petit bémol, l’histoire est sympathique et la fin est bonne (j’ai lu vos autres contes, celui là est mon préféré).
15 mars 2007, par saliou kamara
Bonne nouvelle dans l’ensemble et on peut apprécier le coté naturel que vous donnez à la fatalité.
12 mars 2007, par Daniel Fattore
Bonjour ! Pour tout dire, je la sentais un peu venir - et je me demande si une compagnie aérienne n’est pas tenue de recaser ses passagers sur un autre vol (ou dans un train) en cas de nécessité.
J’ai apprécié ici la création des ambiances, notamment le rôle joué par le whisky dans l’évolution des états d’âme de Loris. Et puis, c’est joliment écrit, soigné, et ça se lit bien. Merci pour ce moment !