Par une douce soirée d’été, comme à l’accoutumée, Pierre aimait se promener en solitaire dans les allées du cimetière de la ville. C’est le seul endroit où il pouvait trouver la paix ; où il avait le privilège de savourer le silence sans que quiconque ne (…)
2010
Faites venir le directeur dans mon bureau. Immédiatement ! – Mais... Monsieur Kuhn... – Il n’y a pas de "Mais" qui tienne, je veux le voir tout de suite ! Nicole, la jeune stagiaire de direction obtempéra. Elle s’était bien dit en arrivant ici (…)
2010
"Chiens de guerre" (originellement "Les chiens de guerre") a été écrit en 1991, puis révisé en 1999. Mon intérêt pour l’histoire militaire (bien que je sois pacifiste, mais je n’en suis pas à une contradiction près !) m’a inspiré cette nouvelle, ainsi que (…)
L’aventure débute à Montréal, de nos jours. Henri de Voragine rencontre Adeline Bisclavret, qu’il ne connaissait pas.
La Prêtresse Aya rejoint les enfants bien installés dans l’herbe du parc ; Ah ! Ce parc se dit elle c’est une œuvre des plus parfaite… ce parc a une âme qui festoie copieusement a chaque saison de l’année et qui fait de nous des heureux invités ! Bonjour (…)
17 mars 2007, par Sharyann
C’est sûrement une question de style ou plus simplement de goût mais je trouve que les phrases sont parfois trop poussées et cassent le rythme de la nouvelle. Exepté ce petit bémol, l’histoire est sympathique et la fin est bonne (j’ai lu vos autres contes, celui là est mon préféré).
15 mars 2007, par saliou kamara
Bonne nouvelle dans l’ensemble et on peut apprécier le coté naturel que vous donnez à la fatalité.
12 mars 2007, par Daniel Fattore
Bonjour ! Pour tout dire, je la sentais un peu venir - et je me demande si une compagnie aérienne n’est pas tenue de recaser ses passagers sur un autre vol (ou dans un train) en cas de nécessité.
J’ai apprécié ici la création des ambiances, notamment le rôle joué par le whisky dans l’évolution des états d’âme de Loris. Et puis, c’est joliment écrit, soigné, et ça se lit bien. Merci pour ce moment !