Accueil > Avant première > À la brasserie Pill Brusselles : L’enkriekage de l’Amerloque
Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre. Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.). Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.
Dans la cour fraîchement balayée, une limousine de trente-deux mètres et quinze pouces de long, blanche comme une robe de mariée congolaise, et aux vitres teintées, déverse trois hommes coiffés de stetsons, très préoccupés par la mastication de gomme mentholée. Il y a deux grands balèzes, et un petit malingre au milieu. On voit immédiatement à son air féroce que c’est lui le boss.
À LA BRASSERIE PILL, BRUSSELLES (02) extrait de « CARTACHE ! Du ramdam chez les rames » de Georges ROLAND, © éditions bernardiennes 2010, ISBN 978-2-9600805-37 www.bernardiennes.be Ce texte contient des belgicismes et des expressions typiques bruxelloises. Un lexique est disponible à la fin de chaque livre intégral.
Voir en ligne : Georges Roland, auteur bruxellois
Extraite du traminot-polar "Cartache !" paru chez bernardiennes (www.bernardiennes.be), la saynète se passe encore dans la brasserie préférée des bruxellois truculents, héros d’enquêtes déjantées.Ce texte est émaillé d’expressions typiques du dialecte (…)
2014
Cette nouvelle fait partie du recueil "Nouvelles sucrées ou salées" paru aux éditions bernardiennes. Disponible sur Amazon.
Premier chapitre du roman policier humoristique bruxellois "Manneken Pis ne rigole plus" (éditions bernardiennes). Dans une brasserie, des figures emblématiques de la population bruxelloises se rencontrent pour vivre des moments folkloriques, émaillés (…)
2013
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1er mars 2016, par boudechacha
je préfère passer mon chemin
Extrait du roman " La décrue" .Ce roman décrit un monde où la folie l’emporte sur la raison, où la vie humaine n’a pas plus de valeur qu’une denrée périssable.
On dit que tu es vivant Michael, mais je sais que ce sont des affabulations de la toile. Les rumeurs les plus folles circulent sur ton prétendu « Fausse mort », comme si on pouvait jouer avec la mort !
Ne trouvez-vous pas que nous vivons dans un monde noyé dans la confusion la plus totale ? Nous cherchons tous un but, une conclusion claire et nette. Le problème, c’est que parfois, quelque chose qui baigne dans le brouillard n’aura jamais d’autres (…)