Accueil > Autobiographie - Témoignage - Autofiction > Tout conte fait, ou la perte des racines
Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre. Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.). Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.
"Le jet vira légèrement au nord-est, exactement au-dessus du phare d’Arzew." Le narrateur est arraché brutalement de son Algérie natale en 1962. En apprenant fortuitement l’enlèvement et assassinat de ses amis intimes quarante ans après les faits, ce traumatisme se révèle à nouveau dans toute sa douleur. Les souvenirs émergent au travers d’anecdotes poignantes, entre l’humour et les larmes, en suivant le parcours de trois générations d’immigrants espagnols, tous arrachés à leur terre natale pour diverses raisons. Dix ans plus tard, le pèlerinage aux sources, confirmera la perte définitive de ses propres racines. "Le jet vira légèrement au nord-est, exactement au-dessus du phare d’Arzew." Cette phrase répétée à la fin du récit veut replacer l’histoire dans l’inexorable réalité de faits irréversibles. Un témoignage bouleversant, raconté sans haine ni rancœur, avec la lucidité que permettent la distance et le temps. "Une pâle lucarne ouvrant sur l’espoir" finit par conduire, à force de courage et de résilience, à la sérénité rassurante qu’un immense désespoir enfin surmonté a permis d’atteindre.
Charlotte trouve une passion merveilleuse avec Jean, son premier mari que la guerre lui arrache brutalement. Elle ne l’oubliera plus jusqu’à la fin de sa vie, une vie épuisante entre la couture et le travail de ferme, et ce sera toujours lui qu’elle verra (…)
2016
Le narrateur est arraché brutalement de son Algérie natale en 1962. En apprenant fortuitement l’enlèvement et assassinat de ses amis intimes quarante ans après les faits, ce traumatisme se révèle à nouveau dans toute sa douleur.
Dans une résidence près de Valencia, les rapports houleux entre des voisins nantis mais jaloux les uns des autres et dont la fausse amitié finira par se désagréger au milieu du marasme économique actuel. Une intrigue met en scène une arnaque immobilière (…)
Votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.
Veuillez laisser ce champ vide :
31 mai 2015, par djalil kadi
J’ai rencontré l’auteur du livre lors d’une manifestation culturelle à l’institut Français de Valencia et j’ai tout de suite été subjugué par la sensibilité qu’il dégageait et par son humour efficace. J’ai alors téléchargé le livre et je l’ai lu en un weekend. Je suis moi même Algérien, né à l’indépendence et exilé dans l’autre sens vers l’Espagne. Le livre m’a passioné, il m’a appris beaucoup de choses et il m’a permis d’avoir une autre perspective toute nouvelle de l’histoire de mon pays et de ses peuples. Le style littéraire est précis, rigoureux et, à mon sens, poétique. L’auteur, Alain Bonet a un talent immense et une capacité de conteur hors du commun. Je recommande le livre tres vivement en espérant que les jeunes générations puissent le lire sans oeillères et sans animosité aucune afin de mieux comprendre la réalité de leur histoire et d’assimiler la richesse de leur patrimoine humain.
Il a 23 ans et il est militaire sur la base aérienne de Villacoublay. Elle en a 20 et habite à Bièvres. Ils se sont rencontrés par le plus pur des hasards un soir de printemps et il est immédiatement tombé sous le charme de cette jeune femme blonde comme (…)
Le docteur de Wuhan fait tout pour sauver la jeunesse de Wuhan.
Autobiographie, sur ma vie dés ma venue au monde jusqu’à aujourd’hui, 29 ans