Edition999
La plateforme gratuite de diffusion littéraire
Accueil > Littérature > (Some) One Shots
Des histoires naissent, sans autre but que d’exister par elles-mêmes. Des « one shots » écrits au gré du hasard et de l’inspiration du moment.
" Some one shots " parce qu’on ne décide jamais vraiment si l’on reste ou si l’on part, du moment où l’on quitte ou non cette terre. Appelez ça le destin, la main de Dieu ou du diable, un concours de circonstances…
En tout cas, il y a toujours quelqu’un pour appuyer sur la gâchette sans forcément avoir recours à une arme à feu.
Quelqu’un ou quelque chose.
Someone or something…
"(Some) One Shots", c’est un recueil de 55 nouvelles réparties à travers 12 parties thématiques : "Voyages", "Mes interludes", "Les sectaires", "Les prédateurs", "Enfances volées", "Rouler des mécaniques", "Destinées I", "Legends", "Des prénoms en trompe-l’oeil...", "Destinées II", "Darkness" (très très noir), "Après toi...".
Je vous en souhaite bonne lecture...
Il y a des images furtives qui se fixent durablement dans nos mémoires parfois.
Celle qui me reste ressemble à ce tableau de Vettriano, Seul le rouge profond II, ou du moins ce tableau m’y fait souvent penser…
Ma mère se maquillait assez peu, mais ce souvenir est lié à ce geste très féminin : celui de se grimer dehors un soir, à la lueur d’un lampadaire la nuit tombée.
La case était sommaire, les sanitaires l’étaient encore davantage, alors pour ” se faire belle “ comme on dit, pour aller danser quelque part, ma mère usa du système D, gestuelle immortalisée par l’objectif de mon père ce soir-là.
Je devais avoir six ou sept ans à l’époque, et jamais je n’ai trouvé ma mère aussi jolie, quand le ballet des ombres la mettait si bien en lumière. En pantalon noir et petit top léger, les pieds habillés d’un vernis aussi écarlate que ses sandales à talons, elle composait avec le muret de pierres sur lequel elle s’était vaguement assise pour profiter de son reflet dans le minuscule miroir du vanity-case qui reposait, en position ouverte, à côté d’elle, de façon à pouvoir peindre ses yeux ou ses lèvres sans déborder.
"Qu’est-ce qui t’as tuée, Solenn ?" Telle est la question qui hante depuis sept ans Zack, le dernier compagnon de Solenn Avryle, ex-icône du septième art hexagonal. Une disparition violente à laquelle Paul Werner, premier mari de l’actrice et figure de proue de (...)
2022
Marc Oettinger est flic, un inspecteur borderline terrassé par un drame personnel. Izmaar Eagle est la nouvelle star montante du hip-hop. A priori, aucun lien n’existe entre eux.
2022
Sud de la France, début des années 70. Maxime, vingt-deux ans, rencontre par hasard Salomé, son amour de jeunesse, d’enfance, l’amour de sa vie, dont il avait perdu la trace une dizaine d’ années plus tôt, lorsqu’elle avait dû quitter Oran. Un amour inavoué et (...)
2021
"L’amour, ce sentiment auquel tout le monde aspire… Il peut surgir n’importe quand, n’importe où. Au détour d’une rue piétonne, d’une aire d’autoroute, dans une larme de houblon. Parfois, l’union de deux êtres donne même des fruits (...)
2018
La cité médiévale de Lautrec, qui compta jusqu’à 4500 habitants,
Sirena, une jeune femme insouciante croquant la vie à pleines dents, rencontre le grand amour lors d’un séjour en Grèce. Loin d’être une idylle, cette relation dévorante et passionnelle va la faire fourvoyer vers des méandres hasardeux, au risque de s’y perdre à (...)
Une semaine dans un monde logique ou absurde, je ne sais pas.
Jolie histoire, proche d’un conte, mais basée sur des faits réels.Une petite aventure d’un garçon de neuf ans qui aime la peinture. Les illustrations sont oeuvres de l’auteur.
23 novembre 2018, par Jean-Michel
La version Epub pour tablette et la version Mobi pour Kindle sont disponibles.
Bonne lecture à tous.
^ 14 décembre 2018, par Raphaël Coleman
Merci à vous, Jean-Michel, et à toute l’équipe d’Edition999, une maison d’édition pas comme les autres, pleinement à l’écoute des auteurs et des lecteurs, dans un esprit de partage.
Cela permet à des ouvrages comme celui-ci d’aller à la rencontre de son modeste public, chose qui n’aurait guère été possible en dehors de ce vecteur-ci, quand on connaît la frilosité du marché de la nouvelle.
Bien à vous.
RC