Quand les Mots parlent
(Auteur)
Nombre de pages en A4 : 34
Version publiée le 27 juin 2020
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Thème : Poésie
La quatrième de couverture
Trop jeune. Trop sensible. Pas assez douée. Pas assez courageuse. Et pourtant, il m’a suffi de graver quelques mots sur un papier pour que, tout à coup, une porte s’ouvre dans ma vie tout juste commencée.
Quand les mots parlent, ils me chuchotent des sons mélodieux. Ils m’accompagnent, et mes solitudes se font jour, sans un bruit. Alors, d’une nuit à l’autre, mes mots dansent, et offrent à ceux qui veulent les lire un spectacle unique. Celui qu’Inspiration a bien voulu m’accorder, ce jour là où, pour la première fois, un vers est venu vers moi...
La première page
Mon quatrième recueil. Pas encore 1 an d’aventure. Peut-être que tout va trop vite, mais comment arrêter un fleuve qui coule si vite, si passionnément ?
Je cachais ma poésie depuis longtemps. En une année, elle s’est enfuie. Mes 17 printemps ont bourgeonné, éclos, et j’espère fleuris.
Dans mes mots se cache parfois mon âme, mon coeur ou ma réflexion, mais j’espère surtout qu’ils sauront parler aux vôtres. Mes poèmes sont un partage, une expression, à lire ensemble.
La poésie ne donne pas seulement l’impression que le monde est plus beau. Elle l’améliore, et rend magique chaque instant, chaque seconde.
Elle nous incite à profiter, vivre, mais surtout voir. Voir la colère, l’espoir, la haine, le découragement, la peine, l’allégresse… simplement la vie.
La poésie est un partage de sentiments…
Le Temps de découvrir un cœur, le temps qui passe, des vers qui coulent et découlent de sentiments enfouis, un intérieur envahi par des vagues d’émotions…
Tant de mots qui cherchent une encre, une ancre pour s’arrêter, se poser sur un papier. Que ce soit le mien, ou celui d’un autre, ils seront libérés, par une voix simple, sans écho, une voix venue de la mer, inconnue , parlant à sa manière.
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Biographie de
15 novembre 2020, par Frédéri MARCELIN
C’est beau, c’est tout ce que j’aime et plein de promesses.
Ô ne cesse de poser des mots
Sur la vie qui va
Je les lis aussi par mes oreilles
Je les lis sur ma peau trop vieille
telle la caresse de ma mère sur ma tête d’enfant.
Avec les mots j’ai toujours dix-sept ans.
Merci.