J’ai autrefois beaucoup lu les romans de Léon Tolstoï et de Dostoievski, et j’en ai retenu l’atmosphère de la Russie tsariste du XIX° siècle. J’ai également songé à Jean Lorrain et sa nouvelle "Les trous du masque".
Quand la poignée d’ouverture de son parachute se bloqua, Didier poussa un petit cri de chaton et se mit à mouiller son pantalon en acrylique - cinq $ de caution ! fumiers de ricains ! - tout en fixant le sol se rapprochant à plus de 300 km/h. Autant dire (…)
La vitrine lustrée de la boulangerie de la rue Victor Hugo arborait solennellement cette triste nouvelle. Tous les habitués s’arrêtèrent devant la porte close sur le bord du trottoir, lâchant des « oh » surpris. Une vieille, cachée sous un fichu fleuri, (…)
29 août 2006, par dagda_01
Moyen, le principe de base me plaisait beaucoup mais je ne le trouve pas bien mené. La fin est assez facile et sans réel explication. Peut-être que tu ne savais pas trop comment finir... ou bien es-ce peut-être la courteté de ta nouvelle qui ne laisse hélas aucune place aux explication. Donc une oeuvre qui s’avale sans pourtant bien se digerer