Accueil > Fantastique > Les enveloppes blanches
Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre. Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.). Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.
C’était la veille de Noël. Un homme se trouvait dans un appartement en face du magasin. Il jeta un coup d’œil par-dessus son épaule et aperçu que la femme qu’il avait étranglé juste avant avait les yeux grands ouvert. Triste sort pour cette personne. Bref, son nom était aussi dans l’enveloppe blanche. Aujourd’hui, c’était une pierre deux coups. L’homme détourna les yeux. Sur le lit, le fusil qu’il avait avec lui brillait à la lumière du jour. Dehors, les gens allaient et venaient en pensant à leur petite vie. Il prit le fusil, respira un bon coup et s’approcha de la fenêtre. L’homme regarda dans la lunette de visée. Dans son viseur, deux femmes discutaient en marchant. L’une d’elle portait un superbe manteau noir approprié à la saison. Il ne savait pas lire sur les lèvres, mais à voir leur expression sur leur visage le réveillon de Noël s’annonçait très bien. L’autre femme tenait la main d’un petit garçon. Elle était visiblement plus grande que la femme en manteau noir. Ce n’était pas elle la cible, mais celle au magnifique manteau noir. C’était sa description et son nom était dans l’enveloppe blanche. La fenêtre était à peine ouverte, juste assez pour laisser dépasser le bout du canon. L’homme prit une profonde inspiration. Il pressa légèrement la queue de détente...
Prix : GRATUIT
Cette histoire, n’est sans doute pas une histoire quelconque. J’aimerais vous dire que c’est l’histoire d’un gentil petit chien ou encore qu’elle commence par : il était une fois. Mais cela serait vous mentir. Non, en fait, cette histoire est l’histoire (…)
2007
Un homme était assis au comptoir d’un bar du centre ville. Du haut de sa chaise, il fixait son verre vide d’un regard absent et faisait tourner son index à l’intérieur de celui-ci. Pendant un bref moment il s’était assoupi. Son verre se brisa par terre et (…)
2006
Je la voie toujours au même endroit, assis sur un banc, les mains entre les jambes. C’est une belle jeune femme. Elle porte toujours cette magnifique robe et ce petit gilet si attirant.
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24 janvier 2007, par pauline gonnaud
Horrible, excellent, beau, gorre...un coktail de sentiment mélangés d’où un grand MERCI en ressort, merci d’avoir écrit cette nouvelle te d’en avoir fait profité les autres car elle en vaut le coup !
27 juin 2006, par marionaubry
J’ai beaucoup aimé ton histoire ! Et puis la fin est spectaculaire le fait de nous dévoiler que peut etre il y aurait notre nom dans une de ces enveloppe nous colle la chair de poule !
marionaubry (Vendredi 13)
2 février 2006
Simplement exelent !
Denis D.
12 juillet 2005, par Anselme
Original. J’ai adoré. Y a rien à faire, je préfère les nouvelles, on n’a pas besoin de s’éterniser sur des paragraphes de descriptions pour trouver, au final, une intrigue qui aurait été meilleure dépouillée.... Je me suis régalée....
12 histoires qui représentent les 12 mois de l année qu’une personne crée le chaos par de simples gestes.
L ’air était froid, calme et pur. Les pavés dormaient, ils avaient quitté leur alerte quotidienne ; parce que, savaient-ils, le matin d’un jour férié ne connaissait par ici qu’une très faible affluence piétonne, si bien que sur la place, chacun d’entre (…)
Il finit par la retrouver, non qu’elle ait répondu à ses appels mais parce qu’une silhouette diffuse se détachait par endroit de la brume. Il l’avait reconnu, plus par instinct que par mémoire. Elle portait une chemise blanche, sûrement celle qu’elle met (…)