Libérez vos mots, lisez sans limite ! Publiez et découvrez gratuitement

Accueil > Littérature > Le journal presque intime N°9 (la toute dernière confidence)

Le journal presque intime N°9

Le journal presque intime N°9 (la toute dernière confidence)

L. Fayer Tyaglova Shulga (Auteur)

Nombre de pages en A4 : 43

Version publiée le 19 novembre 2023

Les statistiques du livre

106 lecteurs ont feuilleté le livre

21 lecteurs ont inclus ce livre dans leur bibliothèque.

Note Moyenne : 4.5/5 sur 8 votants

Evaluer le livre


Thème : Littérature

ISBN : 978-2-9560273-9-3  

La quatrième de couverture

Chaque être humain est mortel. Ce corps nous est donné pour expérimenter la vie sur terre, mais le moment venu, nous devons le rendre. Je crois que mon temps est désormais compté ! Le moment est venu de faire un petit bilan.

La première page

Le 21 octobre 2023.
J’ai fait un beau rêve : je rentre dans une sorte de cathédrale et tout le monde m’applaudit. Surpris, je demande : "Pourquoi ? La réponse est : "Pour ton don à l’humanité" : "Pour mon don à l’humanité ? ". Ce n’est qu’à mon réveil que je me suis souvenu que dans mon testament, j’avais fait don de tous mes biens à des associations à but non lucratif : 70% à l’Unicef France et 30% à " Solidarité Kosovo ".
J’ai donc commencé à vérifier que tous mes papiers étaient présents et en ordre, car si le testament de l’appartement en France était dans le coffre-fort du notaire français, celui de la maison en Espagne risquait d’être perdu. En effet, le notaire espagnol m’a suggéré d’envoyer le testament rédigé lors de l’achat de la maison aux associations héritières. J’ai demandé de l’aide à mon mari. Il l’a mal pris.
Je pense que c’est culturel. En Occident, la "mort" est un sujet tabou. Nous évitons d’en parler et les funérailles se déroulent dans la plus grande discrétion s’il s’agit d’une personne ordinaire. Sauf que j’ai la double nationalité et que je reste très attaché à ma culture d’origine. Dans cette culture le « voyageur » reçoit les signes avant-coureurs (messages de l’au-delà) de se ancêtres qui le prépare moralement pour que le passage se fasse doucement...

  

Biographie de L. Fayer Tyaglova Shulga

Professeur de russe en libéral ; docteur en science du langage

Autres(s) parution(s) de l'auteur

Trafic d'influence dans le milieu médical et pas seulement

Trafic d’influence dans le milieu médical et pas seulement

En regardant des séries américaines, vous êtes-vous déjà posé la question suivante : pourquoi en France on n’entend pas parler des erreurs médicales. Est-ce que notre médecine fonctionne mieux que celle d’Amérique. En lisant cette partie de mon journal (…)

2023

Le journal presque intime N°7.

Le journal presque intime N°7. La connerie humaine n’a pas de nationalité (Petites études ethnographiques)

C’est la suite je mon journal que j’ai commencé il y a 4 ans. L’idée de cette partie est née depuis un petit moment (depuis 2018). J’ai pris le temps d’étudier le problème. J’ai décidé de ne pas préciser le nom de la ville, car les événements qui suivent (…)

2022

Ukraine, vue du dessus de la mêlée

Ukraine, vue du dessus de la mêlée

Ayant un accès à l’information plus large que celui notre TV nous propose (je maitrise le russe et l’ukrainien), je me suis aperçu que celle que nous avons est très souvent engagée et parfois mensongère. Je trouve inadmissible que les Français n’aient (…)

2022

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre Message

Dans le même rayon : Littérature

Marseille génération

Marseille génération

Dans la grande ville de Marseille, parmi cette jeunesse désœuvrée et parfois violente grandie Olivier. Cet adolescent timide découvre l’amour, le sens de l’amitié, fait l’école buissonnière, mais découvre aussi la délinquance et l’argent facile. Entraîné (…)

Un voyage

Un voyage

Recueil de 5 nouvelles - J’aurais dû profiter pleinement de cet été-là. J’étais en Vacances dans le beau pays de Tulle, cette terre d’adoption. Nous avions décidé, Martin et moi, de rendre visite aux propriétaires qui nous louaient la maison pour le mois. (…)

J'irai où tu m'emmènes

J’irai où tu m’emmènes

Victor relevait ses pièges, son pistage l’emmena dès le lever du jour dans la forêt de Limon. Les châtaigniers tombaient l’un après l’autre sous les coups d’un ver de Chine qui se logeait dans leurs feuilles, s’y reproduisait à les en étouffer et ce sur (…)