Où chaque plume trouve sa voie, et chaque lecteur son évasion.


L'équipe Edition999 est en vacances du 1er novembre au 10 novembre. Les demandes de publication seront traitées dès notre retour. Merci pour votre patience.
Jean-Michel, président de l'association Edition999

Accueil > Littérature > Le journal presque intime N°7. La connerie humaine n’a pas de nationalité (…)

Littérature

Le journal presque intime N°7. La connerie humaine n’a pas de nationalité (Petites études ethnographiques)

L. Fayer Tyaglova Shulga (Auteur)

Nombre de pages en A4 : 39

Version publiée le 4 décembre 2022

Cette oeuvre est protégée par les droits d'auteur au sens de l'article L. 111-1 du code de la propriété intellectuelle (CPI).

Protection des oeuvres

Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre.
Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.).
Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.

Les statistiques du livre

249 lecteurs ont feuilleté le livre

103 téléchargements depuis la parution
1 téléchargement sur les 7 derniers jours
0 téléchargement aujourd'hui

Evaluer le livre "Le journal presque intime N°7. La connerie humaine n’a pas de nationalité (Petites études ethnographiques)"

27 votes

Note globale pondérée

4.85/5 sur 27 votants

Thème :
Littérature

ISBN : 978-2-9560273-9-3  

La quatrième de couverture

C’est la suite je mon journal que j’ai commencé il y a 4 ans. L’idée de cette partie est née depuis un petit moment (depuis 2018). J’ai pris le temps d’étudier le problème. J’ai décidé de ne pas préciser le nom de la ville, car les événements qui suivent pourraient se passer dans une petite ville touristique de Corse, ou chez les Basques, ou encore ailleurs… Il suffit que les gens glissent du respect d’autrui et de la civilité vers le nationalisme extrême et le dénigrement des autres. Comme je le dis dans le titre « la connerie » n’a pas de nationalité. Je suis tout de même obligée de préciser que l’action se passe dans la partie française de la Catalogne.

La première page

Ce jour-là, j’ai trouvé dans ma boite à lettre la réponse de mon ex. médecin traitant le Dr. A. (avec lequel j’étais en désaccord) qui me proposait, je le cite : « de changer de région de villégiature » ?! Les lecteurs qui ont lu mes journaux précédents connaissent ce personnage, pour ceux qui ne sont pas au courant, je résume l’histoire :
Nous (mon mari et moi) sommes venus nous installer dans le département des Pyrénées orientales, tout en savourant d’avance les jours agréables et plaisants que nous comptions couler jusqu’à la fin de notre vie. La nouvelle médecin généraliste à laquelle nous nous sommes adressés, nous est d’abord apparu comme une personne sympathique. Elle nous a pris en charge le 12 septembre 2018. Au départ, je ne me suis même pas rendue compte qu’elle m’avait changé mon traitement post-cancer du sein. (ARIMIDEX contre ANASTRAROZOLE). Quatre mois plus tard, ma santé a commencé à se dégrader d’une manière spectaculaire.
J’ai essayé le signaler, mais cette nouvelle généraliste ne considérait pas cela, comme urgent, ni grave. On a dû se rendre à Paris pour consulter notre bon ancien généraliste. Il m’a fait une ordonnance pour une prise de sang et a conseillé de changer le généraliste, chose que nous avons fait en nous adressant au ce Dr. A. qui a immédiatement supprimé l’Anastrazole. Mais le mal était déjà en œuvre : 17/05/2019 j’ai eu ma première crise d’insuffisance hépatique médicamenteuse (voir le tableau du journal N°1 « Vivre avec un cancer »). Quelques semaines plus tard, j’ai commencé à consommer plus d’eau que d’habitude.

  

Biographie de L. Fayer Tyaglova Shulga

Professeur de russe en libéral ; docteur en science du langage

Du même auteur

Mes dernières missions sur cette planète terre

Mes dernières missions sur cette planète terre

Le 15 juillet, j’ai eu une conversation téléphonique avec une avocate qui pourrait me représenter dans mes affaires en cours (notamment dans la chambre disciplinaire). Elle m’a dit « NON » parce que je n’ai pas de dossier solide.

2024

Le journal presque intime N°9

Le journal presque intime N°9 (la toute dernière confidence)

Chaque être humain est mortel. Ce corps nous est donné pour expérimenter la vie sur terre, mais le moment venu, nous devons le rendre. Je crois que mon temps est désormais compté ! Le moment est venu de faire un petit bilan.

2023

Trafic d'influence dans le milieu médical et pas seulement

Trafic d’influence dans le milieu médical et pas seulement

En regardant des séries américaines, vous êtes-vous déjà posé la question suivante : pourquoi en France on n’entend pas parler des erreurs médicales. Est-ce que notre médecine fonctionne mieux que celle d’Amérique. En lisant cette partie de mon journal (…)

2023

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre Message

Que lire après
Le journal presque intime N°7. La connerie humaine n’a pas de nationalité (Petites études ethnographiques)

Vertige du Chaos

Vertige du Chaos

Rattrapé par ses pires cauchemars, des essais atomiques de Moruroa, à la dénonciation du Che, des Black Panthers aux Summer of Love, un agent secret tente d’écrire ses mémoires.

L'AMANTE

L’AMANTE

Trois nouvelles. L’amante, histoire d’un amour particulier. Marcel, autobiographie d’un tueur à gage. Les Yeux de Marianne, déambulation amoureuse.

Quatorze siècles après...

Quatorze siècles après...

Dans la vie nous rencontrons souvent des choses qui nous intri-guent car difficiles à concevoir. Mais notre entendement nous permet à chaque fois d’extirper, à ces choses, leurs secrets. Y a-t-il, dans la vie, de plus surprenant que de voir une chatte en (…)