La visite d’un investisseur étasunien au dépôt du métro brussellois vire au cauchemar pour lui, à la plus grande joie des traminots.
2015
Extraite du traminot-polar "Cartache !" paru chez bernardiennes (www.bernardiennes.be), la saynète se passe encore dans la brasserie préférée des bruxellois truculents, héros d’enquêtes déjantées.Ce texte est émaillé d’expressions typiques du dialecte (…)
2014
Cette nouvelle fait partie du recueil "Nouvelles sucrées ou salées" paru aux éditions bernardiennes. Disponible sur Amazon.
2014
Des études récentes montrent que des glaciations ont été précédées d’un rapide réchauffement ! C’est dans ce contexte de spéculation climatique qu’un homme, apparemment ordinaire, se demande s’il n’est pas le dernier représentant de l’évolution humaine. (…)
A une autre époque, dans un autre monde, les Déesses gouvernent sur la Toute Chose. Mais alors qu’un drame survient, de sombres secrets menacent la prospérité des royaumes. Plus qu’une guerre, c’est une lutte pour la survie de l’humanité toute entière qui (…)
Stark s’informe auprès de Janus quant au covid 19
26 novembre 2013, par Magerotte
J’ai beaucoup apprécié cette variante, saupoudrée d’humour, du "dormeur du val". Outre cet humour à fleur de plume, l’on ressent un indéniable sens... je dirais plutôt un indéniable talent chez l’auteur lorsqu’il s’agit de taquiner l’art poétique. Le mot est juste, la plume est légère comme un pétale de rose. Je vote pour ce texte.
20 novembre 2013, par Barbara Y. Flamand
Le dormeur de Georges Roland est d’une beauté poignante. Beauté de l’écriture poétique faisant sentir l’approche de la mort dans le corps de cet être jeune qui exprime son amour de la vie et qui lentement tombe dans l’inconscience. alors que la nature brille de tous ses feux. Dans un style délicat et sobre, le poète, car dans ce texte l’écrivain est d’abord poète par le choix des mots et une sensibilité vive, nous fait ressentir le tragique d’une vie fauchée dans la fleur de l’âge par la guerre. Il provoque une forte émotion et cela, sans pathos.
Barbara Y. Flamand