Un homme, une femme, un belvédère comme point de rencontre. Les apparences sont parfois trompeuses...
2012
Il arriva dans la chambre. Une pièce ordrée, pleine de nombreux souvenirs inutiles. Le genre de souvenir que l’on achète par coup de foudre et que l’on range par respect, pour finir par l’oublier avec dédain. Il se figea au milieu de la chambre et lança à (…)
2006
Ça commença un matin pendant que Manon prenait sa douche. Elle ressentit une douleur à l’épaule droite. Enfin pas tout à fait à l’épaule, un peu en dessous, au niveau de l’omoplate. Une sensation bizarre, sorte de picotement désagréable. Elle frotta plus (…)
2006
Chaque jour je me repais... Je me repais de son odeur qui évoque un mélange subtil de fragrances printanières... Je me repais des caresses de sa peau, douce et chaude comme un soleil d’été... Je me repais du cristal de sa voix, pure et rafraîchissante (…)
Comme dans toute expérience d’écriture, la nouvelle, comme genre littéraire, est sans aucune autre prétention. L’acte d’écrire, de relater des histoires est avant tout un besoin personnel. Celui de s’exprimer et d’en partager le plaisir, les idées, les (…)
Georges Greatman était un homme tout ce qu’il y a de plus ordinaire, un père de famille et un mari comblé. Il était sans aucun doute le meilleur publicitaire de sa boîte et sa femme, Jennyfer, était devenue un grand peintre talentueux. Rien ne semblait (…)
5 octobre 2006, par Matteo FUSI
J’ai eu peur que l’histoire écrite soit une copie du "8ème jour". Ou encore un conte de fée parlant d’un trisomique. Mais il n’en est rien. J’ai trouvé l’histoire bien écrite même si l’intrigue principal tarde à être définitivement déduisible. Votre façon d’écrire m’a plu. Ciao Matteo
^ 19 novembre 2006, par nounours_y
Merci, c’est toujours un plaisir de recevoir des félicitations. Mais ce qui me fait le plus plaisir, c’est d’avoir réussi à vous tromper quand au sujet véritable de l’histoire.
En ce qui concerne l’intrigue principale, qui arrive assez tard, c’est caractéristique de mon travail. Je ne pense aux histoires que j’écris qu’en voyant le début et la fin possible. Le reste ne me vient que lors de l’écriture. Sachez donc que Jim devait se faire tuer par sa famille et qu’il le savait lors de ma première idée, puis j’ai préféré m’orienter autrement.
Pour info, je n’ai jamais vu le huitième jour, bien que j’en ai entendu parler.