Un homme, une femme, un belvédère comme point de rencontre. Les apparences sont parfois trompeuses...
2012
Il arriva dans la chambre. Une pièce ordrée, pleine de nombreux souvenirs inutiles. Le genre de souvenir que l’on achète par coup de foudre et que l’on range par respect, pour finir par l’oublier avec dédain. Il se figea au milieu de la chambre et lança à (…)
2006
Ça commença un matin pendant que Manon prenait sa douche. Elle ressentit une douleur à l’épaule droite. Enfin pas tout à fait à l’épaule, un peu en dessous, au niveau de l’omoplate. Une sensation bizarre, sorte de picotement désagréable. Elle frotta plus (…)
2006
La Prêtresse Aya sur son banc sous son tilleul apaisant ; Contemple les enfants dialoguant passionnément en groupe la Prêtresse avait déjà remarqué que Aude ne s’exclamait jamais, elle connaît ce genre de personne intravertie elle « garde tout dedans » (…)
C’est un roman d’horreur de 283 pages dont le titre est "Au delà de la peur". Il raconte l’histoire de Ludovic Hidlle, 28 ans, qui vit à Stamford, dans le Connecticut.
Londres, 18 septembre 1976. L’inspecteur Dutrouve, de passage pour quelques jours dans la capitale londonienne, se baladait tranquillement sur Trafalgar-Square. Il s’arrêta pour déposer 25 cents dans un distributeur de journaux, et tendit (…)
5 octobre 2006, par Matteo FUSI
J’ai eu peur que l’histoire écrite soit une copie du "8ème jour". Ou encore un conte de fée parlant d’un trisomique. Mais il n’en est rien. J’ai trouvé l’histoire bien écrite même si l’intrigue principal tarde à être définitivement déduisible. Votre façon d’écrire m’a plu. Ciao Matteo
^ 19 novembre 2006, par nounours_y
Merci, c’est toujours un plaisir de recevoir des félicitations. Mais ce qui me fait le plus plaisir, c’est d’avoir réussi à vous tromper quand au sujet véritable de l’histoire.
En ce qui concerne l’intrigue principale, qui arrive assez tard, c’est caractéristique de mon travail. Je ne pense aux histoires que j’écris qu’en voyant le début et la fin possible. Le reste ne me vient que lors de l’écriture. Sachez donc que Jim devait se faire tuer par sa famille et qu’il le savait lors de ma première idée, puis j’ai préféré m’orienter autrement.
Pour info, je n’ai jamais vu le huitième jour, bien que j’en ai entendu parler.