Accueil > Littérature > L’histoire du vent
Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre. Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.). Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.
Si ce petit livre est publié, il aurait au moins servi à quelque chose. Certains l’ont déjà lu ailleurs.. Mon blog sur Google : mekrazi-djilali.blogspot.com
Une histoire racontée par le vent à ceux qui savent l’entendre.
Ton nom est un mystère. Je le garde prisonnier. C’est une fleur des champs par un jour de printemps, une goutte de pluie dans un désert lointain, un cirrus blanc échevelé au vent. Il peut être ou colombe ou nuage ou serpent !
Je n’ai fait que rêver en suivant tes empreintes, fraîches et nettes encore sur la tourbe mouillée. Légère comme l’aurore qui pâlit à l’orient, la trace de ton pied fragile et délicat, affleure à la lueur du soleil naissant.
Le livre audio ici : https://archive.org/details/lhistoire-du-vent_202111
Voir en ligne : Livre audio de L’histoire du vent.
Un récit dédié au chat blanc en guise de souvenir !
2024
Séléna se couche dans son lit douillet, la couverture aux couleurs vives relevée jusqu’au menton et s’assoupit doucement dans les bras tendres du rêve. Elle lève les bras pour quitter le sol et s’envoler vers le ciel, libre comme l’oiseau et légère comme (…)
2022
C’est un conte qui raconte les aventures d’un jeune homme à la force herculéenne. Il part a la recherche de l’ogre qui a tué son père pour se venger de lui.
2021
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26 janvier 2021, par Mekrazi Djilali
Je voudrais que le lecteur sache qu’il m’est impossible de donner plus de précisions sur les personnages de ce récit. Il n’a pas été facile de mettre au point un scénario neutre afin de laisser les acteurs dans l’ombre. Pour cette raison, j’ai mis cette histoire sous une forme poétique. Les éléments s’enchainent. Il y a d’abord la ville ou la femme , la ville-femme. Vient ensuite la période du rêve qui déforme la réalité et introduit la palette sentimentale. Puis le doute qui s’installe à cause de comportements inexplicables et de paroles équivoques : c’est le vent qui s’en charge. La confrontation mène à la rupture qui est suivie de l’errance dans le désert de la solitude où le souvenir devient mirage. A la fin, la mort achève ce qui reste encore de ce drame sentimental. Les acteurs disparaissent. Seule demeure la complainte indicible du vent.
26 janvier 2021, par Atlas
Ce livre me paraît tel un essai qui qui propose une série de réflexions sur des sujets ressentis par notre écrivain, sans s’étaler sur une explication complète de chaque sujet traité, mais propose plutôt une réflexion intuitive de ce qu’il ressent. J’étais quand même bien ravi de lire cet essai qui est un début captivant et réussi. Je souhaite à notre écrivain qu’il continue dans ses écrits, sans s’arrêter à un seul livre.
Alice est en terminale. Ses parents sont divorcés. Elle vit chez sa mère, Christine. Son père, Jean, est remarié. Alors qu’elle rentre de vacances, Alice retrouve l’appartement à moitié vide avec une note de Christine : « Je suis partie ».
Une nouvelle fantastique autour du thème des noces. Aujourd’hui, maman s’est mariée ! Sale nouvelle que je devais annoncer à mon père le soir même où la mère de son fils unique, serait en train de consommer son foutu mariage.
Alors que tout va bien pour Sylvie et son compagnon Romain, une nuit des douleurs la réveille.