Quelle bêtise, aussi, d’aller couvrir, pour le canard local, ce fichu salon de la publicité au centre des congrès de Cambrai ! Et revenir à la rédaction du journal en autobus, encore ! Pas moyen de trouver un collègue complaisant pour me ramener en (…)
2006
Etouffés par la brume, les sons étaient à peine audibles. Etait-ce de la joie ou bien de la peine ? Non, seulement de la terreur. Le soleil s’était presque totalement éclipsé derrière les crocs de la montagne, surmontés d’un filament orange. Un crépuscule (…)
Te voilà assis devant l’écran de ton ordinateur, lumière errante du nouveau siècle obéissant à l’index tout en asservissant l’œil cerné de nuits blanches. Rechercher sans boussole nous entraîne parfois jusqu’aux chants de sirènes hypnotiques...
D’abord il danse dans les cœurs puis dans les têtes, c’est son art. Rapidement, ses pas jouent sur le piano des émotions du public ravi, son pouvoir. A l’évidence l’œuvre qu’il interprète nait d’une grande douleur où il cherche une issue à la prison dans (…)
11 mars 2007, par saliou kamara
Attendrissant... J’aime bien cette histoire il faut continuer comme ça c’est bien.
^ 11 mars 2007, par Daniel Fattore
Merci pour vos encouragements ! :-)
7 mars 2007, par Laurent Coos
Pas mal du tout votre histoire, je l’ai bien aimé !
Le style est fluide, elle se laisse lire facilement.
^ 7 mars 2007, par Daniel Fattore
Merci de votre message !
Je me trompe ou vous êtes de Bulle ?
^ 8 mars 2007, par Laurent Coos
Oui j’habite à Bulle, et vous ?...
^ 8 mars 2007, par Daniel Fattore
Fribourg, mais j’ai fait toutes mes écoles à Bulle, où j’ai vécu plus de vingt ans... Le monde est petit !
N’hésitez pas à me passer un message : fattorius —at— ureach.com.
7 mars 2007, par Matteo FUSI
Jolie histoire, j’ai bien aimé. Le style indirect libre est très bien vue ! Continue comme ça.
Ciao Matteo
7 mars 2007
J’aurai plaisir à lire vos commentaires - ils sont les bienvenus.