Enchantement désenchanté
Nombre de pages en A4 : 14
Version publiée le 1er décembre 2015
- (Première publication sur Edition999 le 1 av. J.C.)
Cette oeuvre est protégée par les droits d'auteur au sens de l'article L. 111-1
du code de la propriété intellectuelle (CPI).
Protection des oeuvres
Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son
titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre.
Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10)
La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros
d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.).
Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la
décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.
Les statistiques du livre
895 lecteurs ont feuilleté le livre
305 téléchargements depuis la parution
0 téléchargement sur les 7 derniers jours
0 téléchargement aujourd'hui
Evaluer le livre "Enchantement désenchanté"
Note globale pondérée
4.1/5 sur 10 votants
Thème :
Poésie
La quatrième de couverture
Quand on chante en poésie, on chante la beauté qui éblouit le regard, qui touche le coeur, qui élève l’esprit et extasie l’âme ! Poèmes inspirés du temps, de l’espace du climat actuels. L’actualité y fait écho. Lisez, vous en saurez davantage,
La première page
Frêles secousses
Vole, mon esprit au firmament des ombres,
Oublie-toi, dans les vagues nombres
À l’orée de l’espoir, sur la sente d’un bois,
Au soupçon d’un sourd délire,
D’un geste vagabond, d’un regard moribond,
À la quête d’une voix douce et soudaine
D’un tendre souvenir dont je sens encore,
À fleur de peau, le plus fin des désirs,
Dans l’attente patiente du prochain crépuscule,
Au fin fond du feuillage du sacré plaisir,
Où seule la brise me chante encore
Toutes les mélodies de l’arôme du soir,
Du doigt, je tate, je caresse les vibrations stellaires,
D’un arc-en-ciel magique et incantatoire.
Mon rêve n’a point de fin, en cadences,
Il suit le miroitement des ondes,
De cet océan, dans son mutisme le plus secret,
Le plus sombre de ses abysses les plus fécondes,
En aimant, il m’attire et me transporte vers les abîmes,
M’exorcise doucement et me fascine.
Au fond de mon âme, il finit par remuer mes démons d’antan,
Et encore et encore, il me domine
Dans le tourbillon de tous ces parfums des temples lointains, de toutes Ces lumières du vaste destin qui m’illuminent
Et au loin, j’entends la sourde rumeur
Et j’en vois les scintillements des réverbères !
Ksar el-Kébir, le 24/11/2015©®
Né à Azrou, ville du Moyen Atlas, au Maroc, en 1952.
Études primaires à Azrou et à Aït Ishaq. Études secondaires à Khénifra. Études universitaires et carrière de professeur de langue et de littérature françaises à Fès.
Père de trois enfants. Retraité depuis fin 2012.
Lire son interview