Arragoa Tome 1 : Prémices et soupçons
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Nombre de pages en A4 : 167
Version publiée le 16 avril 2021
- (Première publication sur Edition999 le 31 octobre 2016)
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Thème :
Science Fiction - Anticipation
ISBN : 978-2-9553700-0-1
La quatrième de couverture
Au milieu du XXIIe siècle, des colons terriens exilés sur la ceinture de Kuiper, ont découvert des gisements précieux sur la dernière planète colonisée, Hauméa. Abandonné par le pouvoir central basé sur Terre, Zeian Smith fait appel à un mercenaire, Tiago Wilson, pour l’aider à protéger ses richesses. Il négocie également la venue de deux membres de l’ordre des Amazones, Haïp et Lys. Elles sont les garantes de la sécurité des planètes colonisées. Après une première attaque, ils tenteront de déjouer les plans de Viktor Pajarès, un bandit d’origine espagnole, sévissant sur Eris et aux ordres du puissant et mystérieux Horkos.
La première page
Depuis plusieurs jours, une canicule sévère s’était abattue sur la Californie, alors que le mois de mars venait seulement de débuter. Les habitants avaient l’habitude des pics de chaleur intense.
Une routine, une accoutumance ou une fatalité ! Ils ne savaient plus vraiment qu’en penser. Ils savaient juste que ce territoire était devenu aride, presque désertique, et qu’il avait fallu beaucoup d’efforts pour l’amener à renaître de ses cendres, après cet immense tremblement de terre qui avait réduit en ruines toute la baie de San Francisco. Les Californiens se levaient tôt car la chaleur suffocante de l’après-midi les forçait à se calfeutrer.
Seuls les robots de compagnie et d’entretien étaient insensibles aux ultraviolets nocifs que la couche d’ozone avait encore tant de mal à filtrer. Elle était en bonne voie de guérison, mais
la Police d’État Mondial, appelée, par tous, la PEM, veillait à ce qu’aucun humain ne s’exposât sans des protections. Leur prix était encore excessif, mais sentir sa peau brûler sous des rayons
solaires impitoyables était déjà, en soi, une dissuasion.
En ce début de soirée, le soleil avait réduit son agressivité et la vie pouvait enfin reprendre son cours, avec son lot de rires et de cris, reflets d’une bonne humeur collective.
Je m’en allais, les poings dans mes poches crevées ; Mon paletot aussi devenait idéal ; J’allais sous le ciel, Muse ! et j’étais ton féal ; Oh ! là là ! que d’amours splendides j’ai rêvées ! Mon unique culotte avait un large trou. - Petit-Poucet rêveur, j’égrenais dans ma course Des rimes. Mon...