Thème :
Héroic Fantasy
La quatrième de couverture
Dans un monde en pleine mutation, un jeune garçon voyage inconsciemment entre différentes réalités. Privé du Lumen, la force qui gouverne toute chose sur terre, il perçoit des choses invisibles aux yeux des hommes. Mais alors que son village sombre dans le choas et les flammes, il se retrouve face au danger. Sans qu’il en ait conscience, le Lumen deviendra son plus fidèle allié
La première page
Dans une contrée lointaine, au Nord du royaume de Myself, existait un village du nom d’Ébène. C’était un village charmant, situé au bord d’une rivière étincelante qui serpentait vers le Nord, passant entre deux grandes montagnes (Birgfell et Valshtey) à travers la vallée de Hell ; au Sud-Est du village, se trouvait la forêt de Bentwood, et à l’Ouest il y avait la prairie d’Heiter, qui s’étendait à perte de vue.
La forêt de Bentwood était un écosystème peuplé de grands arbres dont certains prenaient racine au bord, aussi bien qu’en plein milieu de la rivière. Alors les habitants pour la plupart, construisaient leurs demeures au-dessus ou autour de ces grands arbres. La prairie était vaste, parsemée de fleurs d’un parfum sucré qui s’agitaient telle une vague au gré du vent. Dans ces pâturages, on entendait le son des criquets et des sauterelles, des abeilles bourdonner au-dessus de ce champ féerique, ainsi que des oiseaux chanter en vocalise.
Il était très rare d’apercevoir les Floèts, une race nomade qui parcourait souvent dans les environs. Ils traversaient la prairie en grand nombre, et poursuivaient leur voyage à travers les bois à la recherche d’un lieu pour s’établir.
Les Floèts étaient de petite taille, ne dépassant pas les 15 cm. Leur physique singulier se caractérisait par une tête en forme de bourgeon accompagnée d’un beau visage joufflu pour la plupart d’entre eux. La couleur de leur peau déterminait la période intermédiaire entre l’enfance et l’âge adulte virant du vert pour les plus jeunes au jaune pour les plus âgées, avec une frêle silhouette pour les femmes et robuste pour les hommes.
Vêtus de pétales de fleurs, ces créatures timides évitaient toute interaction avec les humains et se concentraient sur leurs propres affaires. De nombreuses superstitions circulaient à leur sujet, les décrivant comme des créatures porteuses de chance. Bien qu’ils ne réalisassent pas les vœux, leur présence apportait paix, abondance et prospérité partout où ils passaient. Cependant, ce n’était pas uniquement grâce à eux que ce village prospérait.
Situé à 800 m de la gare, le village d’Ébène était divisé en trois quartiers distincts. Les habitants menaient une vie paisible et adoraient cultiver la terre… ils appréciaient beaucoup la diversité de leurs habitats, riches en flore ; ceux en particulier qui s’adonnaient à l’agriculture, à l’élevage ou à la cueillette.
Salut, je m’appelle Claude, je suis un jeune entrepreneur, diplômé en Administration des Entreprises, passionné d’écriture.