Accueil > Science Fiction - Anticipation > 11 Novembre 3210 : Journal de bord du vaisseau amiral Hippolyte Hartclup
Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre. Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.). Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.
Cette fiction n’a pas comme but de décrire des batailles de "cowboys et d’indiens" sur une planète insolite et inconnue : mais de faire vivre à un équipage terrien une aventure psychologique. je vais donc essayer de décrire, au fil des mois, ce qu’un membre d’équipage d’un vaisseau de la planète terre : peut éprouver et ressentir comme désarroi, comme trouble, comme confusion : dans des situations vraiment insolites : 1) où la propriété privée n’existe pas, 2) où les habitants de la planète "Gentilla" ne disent jamais non à une quelconque demande impérative : que cette demande soit financière, ou quelle soit matérielle (demande d’une voiture, d’un meuble ou d’un objet) 3) où que cette demande soit sexuelle (désir de n’importe quelle personne)
11 Novembre 3210 : Ce matin vers 8 heures une très importante tempête magnétique nous contraint à rechercher un lieu d’atterrissage pour effectuer quelques réparations urgentes et divers contrôles tout à fait indispensable. Nous nous situons, sur les cartes, à environ une semaine de navigation de la plus proche planète du trentième système solaire de la galaxie UDFy38135539 . Malgré le manque de puissance des moteurs atomiques de notre vaisseau nous évoluons à années-lumières + 2.
Tu partis sans un mot, sans laisser ton regard enlever à tes pas le son lourd du départ, et donner à l’adieu la joie de l’au-revoir, mais tu n’as pas tué dans mon coeur l’espoir.
2015
Au carrefour des vents et des tempêtes, le poète hume le temps qui hurle à tue-tête ...
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6 juillet 2022, par Servianenc
Gentil essai, veillez néanmoins aux fautes d’orthographe et aux répétitions.
^ 13 juillet 2022, par PAROLIER37 (Georges Pascal)
Bonjour : c’est avec un certain contentement que j’ai lu votre commentaire. Mon manque d’expérience en la matière fait que ce serait vraiment une bonne chose pour moi : si quelqu’un acceptait de corriger les fautes en orthographe et même aussi certaines fautes de français. Cette nouvelle a été écrite en quelques jours seulement il y a déjà plusieurs années de cela. < Par ailleurs, j’écris régulièrement sur une page réservée à la poésie et donc aux poètes : du nom de "Spleen & mélancolie"
< ci-joint le lien https://www.facebook.com/PAROLIER37/ <
En attendant votre réponse : recevez mes meilleures salutations.
19 mars 2020, par PASCAL
Parfois dans ta vie tu voudrais prendre un train, Pour aller vers un ailleurs, vers un quelque part, Mais tu restes seule à écouter des lendemains, Indécise sur le quai d’une gare.
Au carrefour des vents et des tempêtes Tu humes le temps qui hurle à tue-tête. Depuis si longtemps tu es en quête D’un autre chemin, d’une requête.
Tu rêves d’une route conduisant vers un port. Tu rêves de trouver enfin la Toison d’or. Tu rêves de ces terres si lointaines, Où il n’y a ni souffrances, ni chaînes.
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