Tu partis sans un mot, sans laisser ton regard enlever à tes pas le son lourd du départ, et donner à l’adieu la joie de l’au-revoir, mais tu n’as pas tué dans mon coeur l’espoir.
2015
Au carrefour des vents et des tempêtes, le poète hume le temps qui hurle à tue-tête ...
2015
Kaourantin Gloalen, jeune officier à bord de l’Exode fût un membre très actif de la révolution Castiks.
Une fois de plus et comme toujours, Jérémie était face à son ordinateur et cherchait à matérialiser Aelita. Depuis qu’il était sorti de cours, il s’était installé et tapait à toute vitesse sur son clavier. La matérialisation de sa bien aimée était devenu (…)
Markus se morfond dans un orphelinat de Chicago, pendant que de riches familles confrontées à des problèmes de fertilité achètent des androïdes dit “thérapeutiques” pour des enfants en mal de frères ou de sœurs.
6 juillet 2022, par Servianenc
Gentil essai, veillez néanmoins aux fautes d’orthographe et aux répétitions.
^ 13 juillet 2022, par PAROLIER37 (Georges Pascal)
Bonjour : c’est avec un certain contentement que j’ai lu votre commentaire. Mon manque d’expérience en la matière fait que ce serait vraiment une bonne chose pour moi : si quelqu’un acceptait de corriger les fautes en orthographe et même aussi certaines fautes de français. Cette nouvelle a été écrite en quelques jours seulement il y a déjà plusieurs années de cela.
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Par ailleurs, j’écris régulièrement sur une page réservée à la poésie et donc aux poètes
: du nom de "Spleen & mélancolie"
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ci-joint le lien https://www.facebook.com/PAROLIER37/
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En attendant votre réponse : recevez mes meilleures salutations.
19 mars 2020, par PASCAL
Parfois dans ta vie tu voudrais prendre un train,
Pour aller vers un ailleurs, vers un quelque part,
Mais tu restes seule à écouter des lendemains,
Indécise sur le quai d’une gare.
Au carrefour des vents et des tempêtes
Tu humes le temps qui hurle à tue-tête.
Depuis si longtemps tu es en quête
D’un autre chemin, d’une requête.
Tu rêves d’une route conduisant vers un port.
Tu rêves de trouver enfin la Toison d’or.
Tu rêves de ces terres si lointaines,
Où il n’y a ni souffrances, ni chaînes.