« Les chevaliers de Reine sont ivres de révoltes, de gloire parfois, de désespoir souvent, la vie leur échappe et ils en perdent un peu en courant. Reine et Arthur son amoureux prennent deux chemins différents mais parallèles, leurs illusions, l’un en un monde meilleur et plus juste, l’autre dans une liberté possible, se jouent d’eux à chaque détour. Et tous les chevaliers des trottoirs parisiens arpentés et des squats en lutte sont ivres, résolument ivres et en dérive. Les Gens Bons de Paris s’en prennent plein la tranche et n’en reviennent pas. Tous ces pauvres s’agitent et manifestent, non mais gare, ils veulent les mêmes droits que les Gens Bons n’auront plus. Il va falloir encadrer sévèrement tout cela, il faut une association et un responsable aux ordres. »