Où chaque plume trouve sa voie, et chaque lecteur son évasion.

Littérature

Vae-Soli

Hicham IBN ABDELOUAHAB (Auteur)

Nombre de pages en A4 : 25

Version publiée le 24 novembre 2020

Cette oeuvre est protégée par les droits d'auteur au sens de l'article L. 111-1 du code de la propriété intellectuelle (CPI).

Protection des oeuvres

Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre.
Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.).
Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.

Les statistiques du livre

449 lecteurs ont feuilleté le livre

198 téléchargements depuis la parution
1 téléchargement sur les 7 derniers jours
0 téléchargement aujourd'hui

Evaluer le livre "Vae-Soli"

9 votes

Note globale pondérée

4.56/5 sur 9 votants

Thème :
Littérature

ISBN : 532-16-16  

La quatrième de couverture

Vae-Soli est une courte pièce de théâtre du dramaturge Hicham Ibn ABDELOUAHAB. La pièce évoque la triste fin d’un soldat qui s’est installé dans une gare de train abandonnée.
Durant une nuit, une gitane fait son apparition dans la vie du personnage, dès lors un dialogue existentiel a pris lieu entre les deux personnages mettant en avant des sensations confuses et un échange vif mêlant angoisse, désir et anxiété.

La première page

Avec sa pièce de théâtre Væ soli, Hicham Ibn Abdelouahab, jeune dramaturge inspiré, ne fait pas dans la demi-mesure. Il nous propose une pièce qui bouscule nos principes sur le théâtre, nous désarçonne. Plus qu’il ne dévoile, il voile. Commence alors le rôle du spectateur/lecteur
pour décortiquer les sens cachés : « Je trouve, précise l’auteur, que derrière tout texte dramatique, quelque chose disparaît ; à partir de là, le lecteur entame sa tâche ardue de tout remettre en cause. »
Le théâtre de Hicham Ibn Abdelouahab ne s’adresse pas aux néophytes. Il faut être un initié, connaître Beckett, Genet, Adamov, Koltès, Fosse, Guyotat ou encore Lagarce pour percer les sens cachés des répliques. Les personnages qu’il nous propose ont ceci de commun avec ceux de Genet ou de Beckett : ils ne conversent pas, ils soliloquent et profitent des rencontres hasardeuses pour échanger des monologues et se sentir vivre. Leur langue est tantôt vulgaire, tantôt docte ; tantôt populaire, tantôt mystique. Ils parlent comme des philosophes tout en relevant l’absurdité de leur situation qui n’est autre que celle de l’humanité.
Mokhtar CHAOUI

  

Biographie de Hicham IBN ABDELOUAHAB

🎓Ambassadeur Edition999

Consultant en art&culture, metteur en scène et dramaturge j’ai publié plusieurs textes au Maroc dans différentes maisons d’éditions je cherche à envahir de nouveaux lecteurs.

Lire son interview

Du même auteur

Écumes suivi de Erratum

Écumes suivi de Erratum

Le présent est la seule vraie question de la littérature il est le symbole de la vie qui est en train de se faire c’est la vie inconnue, Bernard Desportes Pour quoi écrire ? L’écriture risque la boue !

2017

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre Message

Que lire après
Vae-Soli

Une Âme Égarée

Une Âme Égarée

Ce livre nous conte l’histoire d’un homme de nommer Oùsque, qui se méconnaissait soi-même ; pour ainsi se connaître, il était obligé de faire un long voyage en soi-même.

Bon Vent

Bon Vent

La mer de nuages moutonnait, grasse et lumineuse sur son balcon, qu’il souhaitait déjà être capable de transformer en ponton sculpté de chimères, aux courbes généreuses, affétée juste ce qu’il fallait pour y lover la Nef fabuleuse qui y serait amarrée.

MAIN BASSE SUR TINGHIR

MAIN BASSE SUR TINGHIR

Dans la province de Tinghir, à majorité berbère, dans le Sud-Est marocain, le roman raconte les infiltrations d’origine extérieure.