Accueil > Littérature > TICROO L’IMPALA
Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre. Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.). Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.
La révolte des herbivores, va installer une ère nouvelle dans la savane. Un jeune impala en sera l’un des protagonistes.
Les animaux ont leur propre langage pour communiquer. Ils parlent notre langue dans cette histoire pour la compréhension de tous. La savane est sans doute, l’endroit le plus dangereux du monde. Elle est formée de végétation propre aux régions chaudes à longue saison sèche, dominée par des herbes, arbustes et arbres. L’espérance de vie pour un homme seul serait de quelques minutes à quelques heures. Ynéo, la maman impala vient de mettre au monde son premier petit, elle le nomme Ticroo. Bien cachée dans les hautes herbes, elle le lèche sans discontinuité. Le petit impala commence déjà à se relever mais par manque de force, il se recouche aussitôt. Sa maman repère tout de suite une anomalie concernant sa morphologie. Ticroo possède des pattes hors normes, elles paraissent plus solides car plus épaisses et plus longues que la normale. C’est peut-être un signe, un don, en tout cas Ticroo semble en bonne santé. Sa mère est aux aguets, à l’écoute du moindre bruit, le danger peut surgir à tout moment. Actuellement, elle nourrit sa progéniture en l’allaitant. Dans quelques semaines, le petit impala sera presque autonome. Viendra alors l’instant où ils devront nécessairement rejoindre le troupeau et se mettre en sécurité. Pour le moment, il faut compter sur le facteur chance car la moitié des bébés antilopes ne survit pas à cause des prédateurs qui n’en font qu’une bouchée. Ainsi va la vie dans ce lieu cruel, le plus fort l’emporte toujours sur le plus faible. Les herbivores servent de casse-croute aux carnivores et cela depuis le commencement. Leur force consiste à se regrouper car en cas d’attaque, ils giclent spontanément et cela déstabilise les assaillants et dieu sait s’il en existe. Malheureusement, les plus faibles ou ceux qui ne peuvent pas suivre la cadence, sont les premiers à être harcelés puis dévorés. A noter, que les carnivores se mangent entre eux de temps en temps, c’est vraiment un endroit sauvage à souhait. En haut de l’échelle se positionne l’homme, le plus à craindre car lui, ne fait pas de tri. Il attaque tout ce qui se trouve à sa merci, sans pitié ! La nature a été forgée de cette manière mais elle est bien faite. Car même les os disparaissent grâce aux vautours, évitant des maladies graves qui pourraient alors décimer l’ensemble des vies.
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