La plateforme gratuite de diffusion littéraire
Ce recueil embrasse des chairs fractales à décomposition noétique des abstractions matricielles ou coulent des métaphores polymorphes, pleines de neurologies transcendantales, germées de synthétismes ou ruissellent des corporéités mentales, composées de liquides, aux herméneutiques d’abeille sociologiques. Il est la matérialisation de mes réflexologies poétiques, les arborescences communiquant des influx d’yeux aux pyramides psychés, les continences d’oiseaux sémantiques, aux clystères géométriques, des anges cérébraux. Il est le réfléchissement télépathe, de mes catharsis évolutives, ou des intégrations chimiques, biologiques, transparaissent à l’intérieur des doigts structuralistes, des discriminants émotionnels, temporels, dégorgés, écrasés de lèvres empourprées, des pâmoisons mathématiques, consubstantielles, des ossements téléguidés, aux ferments arrachés, des prières d’alcaloïdes temporels... . Cet ouvrage est nourrit, enfanté de philosophie, de poésie, de littérature, des sciences, de théâtre, et les combinaisons juchant, parsemant, égrenées d’acuité cérébrale, reflétées d’alvéoles symétriques, ou dansent les bleus sourires, des cristaux préétablit, par des extractions exhalant, des nourritures oniriques, car mon style est aux profondeurs hystériques, des brûlures, des brasiers, des torches intentionnelles, ou rêvent les zéphyrs substantialistes, à transactions des désirs en pachydermes, les diamants acoustiques, comme des mains blondes, des chevelures à genoux, devant les soleils intuitifs. Je tords, cérébralise, les lunules des pharmacologies d’araignées linguistiques, comme des étoiles à ipséités vitalistes, à existentialismes, des génétiques, les fourmillements déliquescents, des alimentations à miroirs, à diapasons musiciens, égologiques. Je transvase les parfums poétiques en des lumières cosmiques, infusées de transparences hybrides, là ou vivent les genèses d’une pulsation géométrique, ordinateurs des jacinthes innéistes, ô extériorités inconscients.
Aujourd’hui, j’ai décidé de porter un témoignage sur la schizophrénie, cette maladie qui fait très peur, nourrit les phantasmes et se banalise dans le langage actuel, journalistique.
J’ai 33 ans, et la Vie a laissé en moi de nombreuses cicatrices, des blessures, des affres existentielles, des échecs, des dérélictions. La paume de mon esprit a été fortement lésée par mes expériences mentales et mes traumatismes.
Ma Destinée avait bien commencé. Je suis le dernier de 3 enfants.
Les deux premiers sont mes sœurs. Je ne développerai pas leur histoire, je souhaite préserver leur intimité. Je suis venu au monde dans une petite ville de L’Isère.
L’amour je l’aime bien, Car il nous permet de sceller un lien, Avec notre semblable, Qui nous juge utile et aimable.
Des collègues, des moniteurs par dizaines, Certains, certaines, Tous différents, Apparemment !
Jean Ngouembe était un jeune boursier du cœur de l’Afrique venu dans la cité du martyr de la Chrétienté Africaine : Saint-Donat. En quittant l’Algérie en 1987, il laissa cette plaquette poétique derrière (...)