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Accueil > Autobiographie - Témoignage - Autofiction > Nostalgie d’un vieux schnock
Ces pages sont les réflexions notées au jour le jour par un vieillard enfermé en lui-même, jetant parfois un regard sur ce qui lui apparaît de la vie à travers le filtre de son esprit suranné.
A mon arrière-grand-mère, Clotilde, mariée à 19 ans, morte à 44 ans, après avoir mis au monde 8 enfants, dont seuls 3 ont survécus.
En guise de prologue, je citerai seulement 4 phrases qui me reviennent souvent en mémoire :
La première de l’un de mes professeurs, afin de rabaisser notre caquet :
« N’oubliez pas que, plus le singe monte haut, plus il montre son derrière ! »
La deuxième de Jean Paul Sartre, que je cite de mémoire :
« On naît par hasard, on vit par habitude et on meurt par oubli. »
La troisième de Voltaire, qui fait dire à son héros à la fin de l’un de ses contes, en substance ceci :
« Finalement, le mieux dans la vie, pour être heureux, est de se contenter de cultiver son jardin. »
Quant à la quatrième, elle m’échappe pour le moment, la coquine, mais dès que je la rattraperai, je vous en ferai part.
Juillet 2017 : Canicule en juin, froidure en juillet. Le petit chien romain (canicula) a laissé place à l’ourson russe et le bord de mer est devenu un petit bordel.
Sur la plage, les gens sont pour la plupart, gros, vieux et moches. Seules quelques filles élancées, jeunes et belles. La mer, quant à elle, reste verte, le ciel très bleu et le sable roux. Parfois, toutefois, le sable vire au blanc et la mer devient d’un bleu foncé, quand le ciel revêt les habits de la Vierge, son bleu tout pâle.
Dans ces poèmes, plus "noirs" que ceux des" Doux poèmes du Rien", l’auteur essaye de sonder la motivation de l’homme, face à la dictature du Temps, à la vulgarité de la Realité, aux blessures de l’intériorité et à la représentation qu’il se fait du (...)
2021
Ces poèmes, volontairement limités en nombre, représentent la pensée profonde de l’auteur.
2020
Fils conçu avant son mariage par l’héroïne de « Si tu m’aimes » (du même auteur) le héros de ce récit contracte au cours de sa jeunesse une grave maladie mentale , qui va par une série de dégringolades, le mener du haut en bas de l’échelle (...)
2020
Tu crois au père Noël ? Comment pourrait-il passer par la cheminée du poêle à mazout ? Elle a raison, c’est bizarre, il faut élucider ce mystère.
On a tous de la chance dans un domaine particulier, pour certains c’est l’amour, pour d’autres c’est la situation sociale ou la profession qui est favorisée, ou bien c’est la santé, tandis que pour moi, c’est quand je suis loin de chez moi, que la chance me (...)
Naître et grandir dans le quartier Limoilou de Québec. Je suis de la Basse-Ville de Québec, du quartier Limoilou, et je m’en souviens. Ces récits sont des souvenirs, des moments heureux et parfois moins heureux de mon enfance et de ma jeunesse dans ce (...)