J’entendis des crissements de pneus, des cris de passants. Je sentis ma cage thoracique se faire broyer par la voiture et je vis ma main baignée dans le sang. J’avais envie de vomir et souffrais infiniment. Mes yeux se fermèrent ... Je me (…)
Il n’avait pas de nom. Certain l’appelait le marcheur. Ni famille, ni ami. Ni envie, ni passion. Il était homme à déambuler, à la recherche d’elle, qu‘il avait un jour perdue. Seul, il cherchait son amour oublié.
La réalité, le fantastique le rêve, qui est vrai ?