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Les Vertiges du cœur

Al. O’WOLF (Auteur)

Nombre de pages en A4 : 53

Version publiée le 16 septembre 2021

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Thème : Poésie

🖋️ La quatrième de couverture

La douleur est un moteur. Ce recueil se veut être l’extériorisation des sentiments les plus négatifs éprouvés par l’auteur. Pour ceux qui entreprendront de le lire., ce sera une pure descente dans les abîmes du mal-être.

🗏 La première page

Ça ne dure jamais

Le sourire de l’enfant
La petite joie d’antan
Me manque tellement

Les jeux magnifiquement innocents
Les pensées dévoilées si purement
À présent, symptômes du méchant

Les placards que je trouvais plaisants
Se sont changés en refuge dégoûtant
J’y vais toujours en pleurant

Les rêves que je révélais fièrement
M’apportent le dédain des parents
Au point de les écorcher cruellement

Pour le moment
Je me contente d’être dans le rang
De faire comme les médiocres gens.

25 juillet 2021

  

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Biographie de Al. O’WOLF

🎓 Ambassadeur Edition999

"Au-delà d’inventer des histoires, nous écrivons des vies" Entre Ténèbres et Lumières, l’esprit de Al. O’WOLF oscille toujours. Dans le tourment, il couche sur le papier les histoires qui l’inondent, le torturent. Il vous suffira de le lire pour comprendre son univers.

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5 discussions

  • 30 novembre 2022, par Grâce

    Les vertiges, oui vos poèmes m’en ont donné. Une déferlante de sentiments qui révèlent la douleur l’amour et les passions perdues.

    • ^ 3 décembre 2022, par Al. O’WOLF

      Je suis heureux de savoir que mes poèmes provoquent de tels sentiments en vous. Merci pour votre commentaire.

  • 17 septembre 2021, par Al. O’WOLF

    Un recueil de poèmes court mais saisissant. Je vous invite à le lire. Plongez au cœur d’émotions fortes et difficiles à contenir.

  • 23 octobre 2021, par Aziz Medjkane

    Un recueil empreint de messages universels , touchant l’âme humaine profondément, intensément. Une préférence particulière pour votre texte " dire je t’aime" , une question d’amour, tout simplement. Bravo ! Bonne continuation.aziz.

    • ^ 4 novembre 2021, par Al. O’WOLF

      Merci pour ce commentaire. Il me va droit au cœur.

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