Accueil > Poésie > Comme damnés
Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre. Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.). Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.
Comme damnés Condamnés Cons damnés. Qu’importe le terme qu’on emploie, il y a toujours une prison dans notre vie dont on refuse parfois de s’échapper, où on est obligé de se réfugier. L’auteur expose des émotions qui l’ont bousculé après avoir participé à une immersion en milieu carcéral. L’enfermement, la douleur et parfois la résignation qu’il a pu côtoyer sont illustrés dans ce recueil sans faux-fuyant.
J’attends la fin C’est plus que certain Mais je ne regrette rien De mes gestes pas bien
J’imagine la fureur de l’injection Ou la douleur de la pendaison Cela me soulage pour une raison Bientôt, je serai libre comme le poisson
Personne ne va me pleurer Je m’en fiche, rien à cirer De toute façon, ma famille toujours divisée À la solitude, m’a si bien habitué
Je sens lentement un sourire me saisir L’enfer m’attend sur un chemin de sombres saphirs Tout heureux, je rendrai mon dernier soupir Car la mort sera contre la vie, moins pire.
Renard Clermont, un escroc notoire, organise un dîner Gala qui réunit les plus grosses têtes de la ville. Pour amuser la galerie, il accepte un duel contre un ancien collaborateur. Au cours de ce dernier, il s’effondre subitement et meurt. Pour les (…)
2024
L’auteur, dans ce recueil, dévoile ses moments de contemplation les plus intenses. Des secondes de volupté en pleine nature qui se sont imprimées dans son esprit de manière indélébile. Al. O’Wolf vous invite à contempler tout comme lui chaque moment, (…)
La fumée de sa clope va lui attirer des emmerdes bien au-delà de ce qu’il pouvait imaginer.
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22 septembre 2024, par Michèle
L’attitude abusive des parents déteint généralement sur les plus petits et les mènent sur le chemin de la destruction. Vos derniers poèmes dénoncent l’inaction de la société face aux violences commises sur les mineurs. Il est peut-être temps que chacun prenne ses responsabilités.
^ 14 octobre 2024, par Al. O’WOLF
Vous avez parfaitement raison, chère Michèle. Il est primordial que les parents reconsidèrent leur implication dans l’éducation de leurs enfants. C’est le seul moyen de les protéger tout en les préparant à affronter un monde peuplé de monstres (mais aussi d’anges).
23 septembre 2024, par Serg Péhaisse
Un recueil embelli par son insouciance et quel hommage aux médecins avec "troisième main" ! Merci pour cette lecture
Fraternellement, Serg Péhaisse
^ 26 septembre 2024, par Al. O’WOLF
Merci pour votre appréciation. Elle me touche énormément.
18 septembre 2024, par Angélique Dupont
La prison est horrible en soi. J’ai découvert beaucoup de rage dans vos poèmes et quelques fois les regrets "d’un condamné". Il m’a été facile d’imaginer les cages dans lesquels vivent les repris de justice. J’avoue que cela m’a rendu presque claustrophobe ! Vos illustrations sont accrochantes et tellement profondes. Toutefois, je pense sincèrement que certaines personnes méritent de se trouver en prison pour le bien du plus grand nombre.
L’histoire d’une réflexion sur la vie
Je l’ai vu à moitié nu, Le corps bien foutu, Mais la tête fichue, Trop fier de son cul.
Mon document est un recueil de textes poétiques qui font vivre la situation actuelle de la société.