Accueil > Fantastique > Le Chant du Village
Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre. Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.). Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.
Il y a très longtemps, entre le village et le château du domaine de Périllos, vivait un homme dans le territoire de la Forêt Pauvres, dans un campement qu’il nomma alors le Campement Pauvres, il se nommait, Perpli. Cet homme avait réussi à faire reculer les espagnols qui occupaient ces terres pour installer les plus démunis et les plus faibles. Mais à peine un danger mise en écart, un autre se présenta alors venu du village et du château : Ramon de Périllos, seigneur du domaine de Périllos, et sa garde sont près à tout pour récupérer ces terres des mains des démunis.
Acte I – Scène I Vespéral, arrivé dans la grotte de la Caune, viens demander Aide à son père – Vespéral : Cernunnos ! Soleil caché et fécondité de la Terre, Réveilles-toi et écoutes ma complainte. – Cernunnos : Rejeton ! Comment oses-tu me déranger dans ce lieu de Leila ? – Vespéral : Père ! C’est de toi que j’acquiers le contrôle des sujets substantiels de ce monde. Despo et ses hommes tiennent leur serment de faire de nous un aboutissement sanglant et doré, dépendant, converti, aides-nous ! – Cernunnos : Il y a, certes, cependant une dureté qui va fragiliser votre armure, la nouvelle promise de Ramon, est arrivée récemment au camp… – Vespéral : Yselda ? Que donc faire ? Il ne faut point que tu la guides, c’est une démunie, comme nous ! – Cernunnos : Restes tranquille, si vous voulez que Despo vienne vers vous, il faut lui prendre un rubis et une rose. – Vespéral : Plaît-il ?
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Deux années se sont écoulées depuis les événements tragiques de Modeyrot. Revenu à Paris, Alistair Kridge poursuit une vie tranquille d’enseignant au sein de l’illustre université de la Sorbonne.
Le client qui entra dans le bureau de mon ami, le docteur Thomas Sharps, était un homme d’âge mûr, de taille moyenne, le physique plutôt quelconque. Son regard évita le mien lorsqu’il m’aperçut - il ne s’attendait évidemment pas à ma présence en ces lieux. (…)
Extrait : "Cindy méconnaissait la passion du cœur comme elle ignorait les autres émotions. Elle riait parce qu’elle le devait, pleurait si le contexte l’exigeait, compatissait envers la veuve et l’orphelin selon la coutume établie, s’effrayait avec ses (…)