Après 34 ans de maladie, je suis encore là avec mes joies et mes peines… Bien sûr, je serre les fesses, je serre les poings, je serre tout ce que peux serrer pour arriver peut-être à 49 ans de maladie et pourquoi pas plus…
Nous reconnaissons dans ce mot de paranoésie qu’il est composé de deux éléments. Le premier tiré de paranoïa qui est folie, le second, venant de poésie, qui est également folie, du moins si l’on en croit certains adeptes fanatiques de la raison.
C’est un mélange de vécu, et de commentaires après et avant mon service militaire, un procès. J’évoque les abus psychiatriques, et les vicissitudes vécues.