Thème :
Rentrée littéraire 2025
Littérature Erotique
La quatrième de couverture
Jenny, 19 ans, étudiante timide et passionnée de jeux vidéo, mène une vie tranquille entre ses cours de sociologie et ses soirées en ligne.
Tout change le jour où Bella, sa meilleure amie depuis le lycée — brune incendiaire, libre et sûre d’elle — décide qu’il est temps de la “décoincer”.
Entre défis absurdes, sorties improvisées et provocations savamment orchestrées, Jenny se retrouve embarquée dans un jeu dangereux où l’amitié flirte avec la séduction. Observatrice hésitante au départ, elle se découvre peu à peu un goût pour l’inattendu, pour le frisson… et pour Bella.
Un roman initiatique espiègle et sensuel, où l’on parle d’amitié, de désir et de liberté, avec humour et une bonne dose d’imprévu. Jenny pensait contrôler la partie… mais Bella n’a pas dit son dernier mot.
AVERTISSEMENT : des scènes ou des propos peuvent heurter la sensibilité des lecteurs
La première page
Je m’appelle Jenny.
J’ai dix-neuf ans. L2 de sociologie à la fac de Nanterre. Jusqu’à il y a peu, j’étais le cliché de la bonne élève : sérieuse, studieuse, discrète. Le genre qu’on ne remarque pas, ou alors seulement quand il s’agit de lever la main pour répondre à une question.
Je bosse à la bibliothèque pendant que les autres vont boire des shooters fluorescents dans un bar crade du centre-ville. Je passe mes week-ends à ficher Foucault, Bourdieu et Elias plutôt qu’à sucer des verres de vodka à la chaîne.
Physiquement, je n’ai rien de la bombe qu’on croise dans les couloirs et qui fait tourner toutes les têtes. Je suis petite — un mètre soixante les bons jours — avec une silhouette encore un peu adolescente : taille fine, hanches discrètes, poitrine modeste mais ferme. Des bras fins, des jambes pâles.
Mon visage est mon atout le plus visible : un ovale doux, des pommettes claires, et surtout mes yeux, bleu clair, presque transparents dans certaines lumières. Ils paraissent plus grands à cause de mes lunettes : une monture fine en métal argenté, discrète, presque scolaire, que je pousse souvent du bout de l’index. Mes cheveux sont blonds, coupés droits aux épaules, souvent attachés à la va-vite avec un élastique noir.
Je vis encore chez ma mère, dans une maison de banlieue un peu trop grande pour nous deux. Elle s’appelle Léa. Belle femme, active, moderne, toujours entre deux stages de yoga et trois rendez-vous Tinder. Une quarantaine d’années qu’elle porte comme on porte un jean parfaitement ajusté : sans effort apparent, avec un côté insolent.
🎓Ambassadeur Edition999
Jeune autrice russo-ukrainienne de 25 ans, j’ai commencé par exhiber mon corps via une webcam, avant de coucher mes secrets dans un journal intime — brut, sans filtre — sur ma vie en Russie, en Ukraine et en France. C’était censé rester dans l’ombre… mais un jour, les mots se sont embrasés et se...
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