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La saga continue...
Je suis Vanessa Carré, médecin à l’hôpital de Vitry, et mon frère Ludovic nouvellement promu inspecteur de police.
Mes parents, Jean et Nathalie étaient fier de nous.
Tout a commencé avant ma naissance.
Jean et Nathalie ne pouvaient pas avoir d’enfant depuis plusieurs années.
Le gynéco de Nathalie, impuissant devant ce fait, leur conseillait l’adoption. Au début ils étaient réticent, selon eux un véritable enfant se conçoit entre un homme et une femme père et mère de préférence.
Ils finirent par choisir l’adoption, les années passaient. Ils avaient 38 ans chacun.
Ils commencèrent les démarches longues et éprouvantes. C’est deux ans plus tard ils se trouvaient dans un orphelinat. La directrice leur présente un berceau avec un bébé d’un an et demi.
Je suis Déborah Khan, médecin à l’hôpital d’Aix en Provence responsable du plateau chirurgical. Mon père est un très gros actionnaire de cet établissement. Il possède des actions dans divers domaines. Il est propriétaire de la villa, ainsi que trois (...)
2018
Une femme entre dans l’hôpital de Créteil. Elle se dirige vers l’accueil. Bonjour dit-elle ? Je voudrai un rendez-vous avec le docteur Herman svp. Oui ! Mais lequel ?
2017
Je suis Sophie Morante, chirurgien dans un grand hôpital Parisien. Il est 6 H 30 le matin, je me dépêche je dois conduire ma fille à l’école. Souvent, et selon mon emploi du temps c’est ma mère qui me la garde. Je reçois un appel. Ce sont les urgences (...)
2017
Une B M W noire s’arrête près du lourd portail, du cimetière d’Orléans dans le Loiret. Son conducteur est Maitre Benoist, Julien célèbre avocat au barreau de Paris. Il descend de sa voiture, et entre dans le cimetière d’un pas lent. Il est vêtu d’un (...)
De divers méridiens, des regards se sont attardés sur mes textes ; d’un profond sentiment de gratitude envers ces adeptes de la francophonie, je leur dédie ma pensée de circonstance...
— Bonjour Yves, qu’as-tu comme curiosité aujourd’hui ? Bonjour Prêtresse ! Je pense à ce que tu m’as dit, de la majestueuse volonté de mon esprit pour sa polyvalence, tu en parles comme si c’était quelqu’un, cela me fait drôle !