Gilbert rejoint Nara, à Lisbonne. Sa situation l’oblige à prendre soin d’elle, afin de déjouer les circonstances dans lesquelles elle vit. Dans leur cavale pour échapper aux balles qui sifflent, séparés jadis par la vie, ils se souviennent, se sauvent et (…)
C’est une merveilleuse poupée, qui parle, qui se tient debout presque toute seule, et qui fait la joie de son admirateur !
Le Père François à sa conception personnelle de confesser Maria.