Accueil > Biographie > Au pays du pain et des roses
Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre. Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.). Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.
Un ouvrage qui ne veut nullement être celui d’un historien, mais de celui qui fut un observateur de très prêt d’une déviation politique, dont le PCA-PAGS fait payé aujourd’hui à tout un pays soumis au diktat d’une bourgeoisie réactionnaire et ignorante. C’est le livre de ceux qui ont trahis le prolétariat dont ils se réclamaient de 1936 à 1994.
Au pas du pain et des roses est une biographie politique d’un des composants essentiels du mouvement communiste en Algérie : le PCA-PAGS. Une dénomination que nous devons à son rival, le Parti de la Révolution Socialiste (PRS). Ce n’est qu’une ébauche, voire une tentative de lecture d’un passé « mythifié » et glorifié par ceux qui, ont de tout temps, nourris l’opportunisme, le déviationnisme et le révisionnisme. Aujourd’hui, l’Algérie est en ébullition sociale, économique et politique. Face au régime de la bourgeoisie compradore et néocolonialisme, le Parti communiste authentiquement révolutionnaire, manque à l’appel. Afin de saisir ce phénomène politique, propre aux pays dits « Arabes », il était urgent pour nous d’apporter quelques éléments de l’Histoire du PCA-PAGS, qui nous permettrons de comprendre la genèse de cette défaillance militante.
Dans la science de la Révolution socialiste, la politique n’est pas une science basée sur le développement des seules forces de productions, c’est pourquoi la révolution, qui est un élément fondamental de la science politique, doit être consciente de ses propres lois et règles. Au cours de cette révolution se trouve un problème fondamental : la possibilité d’établir un Parti communiste dans un pays sans prolétariat. C’est bien la question qui se pose à certains communistes et progressistes de gauche. Le concept de révolution ininterrompue ou permanente (non selon la conception trotskyste) que K. Marx présentait dans son discours devant la Ligue communiste, 1850, exigeait la création d’un Parti communiste dans plusieurs pays dès qu’il y avait une révolution communiste dans l’un des principaux centres du capitalisme, où le succès d’une révolution dans l’un des centres du grand capitalisme exigeait nécessairement son succès dans l’une des périphéries.
Tout à commencer ce 24 mai 1947, lorsque le jeune poète Kateb Yacine donna une conférence à la salle des Sociétés Savantes de Paris sur l’émir Abdelkader et l’indépendance algérienne. Annoncée par Alger républicain (30/5/1947) l’intervention a été « écouté (…)
2024
Un reportage paru entre le 6 et 12 mai 1951 et co-signé entre Kateb Yacine et Mohammed Dib avec la participation du red-chef d’Alger-républicain. Un texte rare où il est question d’un fléau encore aussi vivace aujourd’hui tant en Algérie qu’en France et à (…)
Abdelhamid BENZINE (1926-2003) est plus qu’un journaliste d’Alger-républicain, ce 1er quotidien francophone anticolonialiste. Il est un militant de la cause indépendiste et de la lutte nationale démocratique pour plus d’émancipations en Algérie. Pour le (…)
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MA VIE D’ENFANCE dans lequel Gbèmèho revient sur son enfance compliquée, dans une famille pauvre frappée par le malheur alors que sa mère se bat pour tenir le coup, est un vrai chef-d’œuvre.
Napoléon Bonaparte est dès son vivant l’objet d’une légende dorée comme d’une légende noire.
Grâce à L’Abbé Veyrat, curé d’Onnion et de Mégevette, j’ai pu consulter dans les années 1980, les registres de naissance et mariage qui étaient entreposés au Presbytère d’Onnion. J’ai ainsi pu retrouver l’origine de ma famille : c’est en 1677 que figure (…)