A propos d’un article sur les langues disparues. Cette espèce curieusement « intelligente ? » dont l’une, l’un et l’autre être, peuvent lire ces lettres assemblées.
Grâce à L’Abbé Veyrat, curé d’Onnion et de Mégevette, j’ai pu consulter dans les années 1980, les registres de naissance et mariage qui étaient entreposés au Presbytère d’Onnion. J’ai ainsi pu retrouver l’origine de ma famille : c’est en 1677 que figure (…)
MA VIE D’ENFANCE dans lequel Gbèmèho revient sur son enfance compliquée, dans une famille pauvre frappée par le malheur alors que sa mère se bat pour tenir le coup, est un vrai chef-d’œuvre.