Fantastique

Allergie

Frédéric LA CANCELLERA (Auteur)

Nombre de pages en A4 : Nombre de pages :

Livre publié le 8 avril 2006

Les statistiques du livre

1277 vues
777 téléchargements au total.
3 téléchargements sur les 7 derniers jours
0 téléchargement aujourd'hui
467 PDF depuis le début
310 Epub depuis le début

Evaluer le livre :

1 vote

Note globale pondérée

4.98/5 sur 1 votant
Cette oeuvre est protégée par les droits d'auteur au sens de l'article L. 111-1 du code de la propriété intellectuelle (CPI).

Protection des oeuvres

Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre.
Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.).
Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.

Thème :
Fantastique

La quatrième de couverture

Georges Greatman était un homme tout ce qu’il y a de plus ordinaire, un père de famille et un mari comblé. Il était sans aucun doute le meilleur publicitaire de sa boîte et sa femme, Jennyfer, était devenue un grand peintre talentueux. Rien ne semblait pouvoir compromettre sa petite vie, du moins pour l’instant. L’hiver venait de laisser sa place et le bonhomme de neige du jardin avait fondu depuis longtemps au grand désespoir de Marion, la fille de Georges. Le printemps, quant à lui, avait amené la pluie qui n’avait pas cessé de tomber depuis une bonne dizaine de jours.
La nuit était proche et le repas du soir venait de s’achever par l’engloutissement...

La première page

en cours de rédaction
  

Biographie de Frédéric LA CANCELLERA

Je suis né le 6 janvier 1976 à Paris. Depuis que je suis en âge de retranscrire mes inspirations artistiques, je me suis toujours débrouillé pour toucher à tous les domaines comme la peinture, la poésie, la musique, la poterie… Mais ce qui m’a touché au plus profond de moi-même a toujours été...

Du même auteur

De l’autre côté de la rue.

Ça allait faire quatre années que j’habitais ici et je n’avais jamais osé mettre les pieds dans la maison de l’autre côté de la rue, la maison juste en face de la mienne. Pourtant, vous l’auriez vu cette baraque, elle avait tout du foyer idéal. Un jardin (…)

2006

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre Message

3 discussions

  • 28 décembre 2020, par Stéphanie PEREZ

    Merci à vous j ai beaucoup aimé votre nouvelle : dans l action, bien écrite, drôle et étonnante.

  • 17 avril 2007, par Eric

    Texte sympa et pas mal écrit, par contre dommage qu’ils y aient quelques parties un peu vulgaires, qui n’apportent pas grand chose dans le récit en plus.

  • 10 avril 2006, par Denis D., auteur sur 999

    Merci beaucoup de m’avoir dédicacé cette histoire !!!
    Elle est exelente !

    Bien progressive, le suspens tient jusqu’au bout !!!

    Ton histoire est aussi vraiment hilarante, bravo !!!

Que lire après : Allergie

Les enfants d'Enkidu

Les enfants d’Enkidu : première partie

Lors d’une soirée hivernale, dans le confinement d’un pavillon de la banlieue parisienne, la vie d’Alistair Kridge se voit à jamais bouleversée par la mort brutale de sa compagne, Alicia. Celle-ci, brusquement métamorphosée en une féroce créature, en vient (…)

Délire ou le récit d'une femme éperdue

Délire ou le récit d’une femme éperdue

C’est une nouvelle qui se présente en deux récits. Les personnages sont deux femmes qui se rencontrent dans un train. Elles parlent de leur expérience amoureuse respective, douloureuse... L’une confie à l’autre son histoire, intacte, qu’elle publiera.

Destruction d’une âme

J’entendis des crissements de pneus, des cris de passants. Je sentis ma cage thoracique se faire broyer par la voiture et je vis ma main baignée dans le sang. J’avais envie de vomir et souffrais infiniment. Mes yeux se fermèrent ... Je me (…)