Nous sommes là, sans pouvoir dire un mot, estomac noué. Autour de nous silence et désolation. Des immeubles délabrés aux fenêtres murées, des barbelés rouillés qui hérissent un haut mur de parpaings gris. Tous les cinquante mètres, des miradors où campent (…)
2019
En pénétrant dans le cimetière d’Estramiac dans le Gers, en contrebas du village, le regard est attiré par une imposante croix de pierre. Placée au centre du lieu sacré, elle domine la tombe du curé Jean Dieuzaide. "Le pasteur au milieu du troupeau" (…)
2019
El-Djazaïri ou l’Algérien, un pseudonyme qui valait à un des premiers communiste-bolchévique algérien d’être qualifié, en 1933, de "collaborateur de la police" par un PCF qui préparait sa dérive politique et idéologique.
18 chapitres, pour une écriture simple à lire, mais facile à comprendre sans artifice, du sentiment, de la cruauté, du risque, du danger, du drame,de la récompense, du savoir, etc..
Oui, je suis comblé car j’ai, non pas une, mais trois patries : L’Espagne qui m’a vu naître, la France qui m’a donné une éducation, et le Venezuela qui m’a ouvert les yeux sur le nouveau monde.
10 août, par Pascale Diaz
L’écriture est belle, les sentiments bien traduits. Récit qui demande à être connu,je vais le recommander autour de moi.
10 août, par Pascale Diaz
Belle écriture, joli récit. Les sentiments sont bien traduits. Ce qui est relaté des inquiétudes d’une enfant en temps de guerre me rappelle les souvenirs racontés par mes parents.