Accueil > Littérature > TERMINUS, TOUT LE MONDE DESCEND !
Les droits d'auteurs conférent par principe une propriété privative é son titulaire, lui permettant de déterminer les conditions d'exploitation de son oeuvre. Les infractions aux droits d'auteurs sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 é L. 335-10) La violation des droits d'auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d'une peine de 300 000 euros d'amende et de 3 ans d'emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.). Des peines complémentaires - fermeture d'établissement, confiscation, publication par voie d'affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre étre prononcées.
Une nuit à peine troublée par un zombie qui passe dans le couloir en hurlant, des cris et des pleurs, des claquements de portes et des cliquetis de chariots. Qu’il est bon à ces cyclistes retraités, bien calés dans leurs lits, au chaud sous les couvertures, de rêver à de folles échappées et à de belles parties de manivelles. En route pour le grand voyage. oubliés les murs, les grilles, la pisse et la merde. Mesdames et messieurs les voyageurs, attention à la fermeture automatique des portes avant le départ. la grande évasion peut commencer. Il faut en profiter car on sait parfaitement qu’il y a toujours une fin. Puis, lorsqu’elle arrive. Mesdames et messieurs les voyageurs, terminus du train, tout le monde descend.. Déjà ?
Automne 1985 Le parc de la maison de retraite du Déclin est magnifique. Pour faire simple on dira qu’il offre une palette de couleurs à faire naître bien des envies à tout impressionniste qui se respecte. Des roux écureuils, des jaunes poussins, des rouges-sang, des violets vinasse, des oranges teinte navels, des bruns châtaignes, des marrons très marrons, des verts olives et bien d’autres couleurs aux noms tout aussi savants. Avec un été indien qui s’éternise, il n’est pas étonnant de trouver un Apache, un Sioux et un Cherokee confortablement installés sur un banc près de la grille qui longe la route qui mène à la grande montée. Pourquoi sont-ils là ces trois là ? Pour regarder passer les cyclistes qu’ils ont été. Ils évaluent, commentent, jugent. – Celui là il va en chier avec son gros bide ! – T’as vu l’autre ? Il ne va pas pouvoir l’emmener bien longtemps son gros braquet ! – Putain ce mec a pris le vélo de Maurice Garin ! Tu parles d’une charrue sa bécane ! L’un ne connaît pas ce Garin, alors il s’entendra dire : – Le premier vainqueur du tour de France en 1903 ! Tu ne sais pas ça ? – Ils sont encore en paquet mais ça ne va pas durer ! Vous avez vu ils se tirent déjà la bourre ! Ça va s’écrémer sec ! Ils seront moins fringants dans deux bornes ! Le passage d’un vélo provoque un commentaire, enfin pas toujours car il y en a de trop médiocres, des transparents, des même pas cyclistes, des facteurs en quelque sorte.
Cette fiction se déroule de l’automne 1961 à l’été 1962 à Saint-Nirols, village ordinaire pour le commun des mortels mais extraordinaire pour l’auteur car c’est celui dans lequel il a vu le jour. Le temps s’y écoule au rythme des saisons qui se font comme (…)
2024
Un groupe d’amis d’enfance du quartier de Saint-Etienne-Bellevue appartenant à tous les milieux sociaux professionnels, des professions libérales, des fonctionnaires, des commerçants, des artisans et ouvriers. Quelles que soient leurs situations (…)
2023
Mr le baron Ansbert de Mortefeu règne en maître sur ce coin perdu. Ici tout est horrible, tout est froid, tout est humide. Pas de soleil, pas de ciel bleu, tout est gris. Des cris venus de nul part et des bêtes de mauvais augure.
2022
Votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.
Veuillez laisser ce champ vide :
Planète Fidji – An 1000. Le soleil se levait lentement à l’horizon et annonçait un temps magnifique en ce deuxième jour d’automne. Ciruela ouvrit un à un les volets de sa petite chaumière dans laquelle elle vivait avec son grand-père.
Ange est au volant de sa vieille Peugeot. Il roule à vive allure. C’est la voiture de sa mère. La tôle est toute chiffonnée, le moteur propage un boucan d’enfer, l’ordinateur de bord a rendu l’âme ainsi que le chauffage. La nuit, qui est tombée (…)
Une mythomane décide de raconter sa vie. Elle nous entraîne dans son monde, mélange obscur de souvenirs et d’affabulations. Vous ressentirez peut-être l’envie de démêler le vrai du faux, de passer maître dans l’art de détecter l’imposture. Son humour (…)